Vincent Cassel (58 ans) pas tendre sur ces gens en France : "Grossiers et incultes"

Ce jeudi 5 juin 2025 à l'Élysée, Emmanuel et Brigitte Macron ont reçu le président brésilien Lula accompagné de son épouse Rosangela pour un dîner d’État. À cette occasion, d'innombrables personnalités publiques ont été conviées à l'instar de Vincent Cassel et sa compagne Narah Baptista.

Vincent Cassel et sa compagne, complices et amoureux à l'Élysée

Pour rappel, il y a de ça plusieurs décennies, le fils de Jean-Pierre Cassel est littéralement tombé amoureux du Brésil. Lorsqu'il n'est pas en France, le célèbre acteur de 58 ans aime s'y rendre avec sa famille. De plus, sa chérie de 30 ans sa cadette, avec qui il a eu son quatrième enfant (un petit Caetano en début d'année), est également d'origine brésilienne. Il était donc naturel pour le couple présidentiel de les convier hier. Manifestement, à la différence de beaucoup, Vincent Cassel ne semble pas être révulsé par Emmanuel Macron.

Quand l'acteur tacle ceux qui rêvent d’une France fermée, ça fait mal

En effet, s'afficher à ses côtés ne lui pose aucun problème malgré les polémiques. Toutefois, s'il y a bien un parti qu'il ne porte pas dans son cœur, c'est bel et bien le Rassemblement national, autrefois appelé le Front National. Dans l'émission Conversation Secrète diffusée sur Canal + en 2015, le grand ami de Mouloud Achou n'avait pas mâché ses mots. "Je vois une bande de mecs grossiers, vulgaires, incultes, énervés", avait-il lâché en évoquant la montée du parti désormais représenté par Jordan Bardella. "C'est le flip quoi (...)".

"J'aimerais bien voter pour quelqu'un et non contre un candidat..."

Il lui était bien difficile de comprendre le point de vue de leurs fidèles sympathisants. "Je ne sais même pas comment les gens ont envie de voter pour ces gens-là", avait ajouté le cinquantenaire. Face caméra à l'époque, Vincent Cassel a aussi révélé qu'il boudait les urnes depuis un petit moment. "Le problème, c'est que j'aimerais bien voter pour quelqu'un et non contre un candidat", a regretté la star. "Je trouve qu'à ce jeu-là, on se fatigue". Visiblement, les autres partis ne l'ont pas non plus conquis.

La star de la Haine étrille tout l'échiquier politique

D'ailleurs, l'ex-mari de Monica Bellucci et Tina Kunakey estimait ne pas constater une "grande différence entre la gauche et la droite". "J'ai l'impression que tout le monde travaille un peu pour la même enseigne, à quelques détails près. Je n'ai pas l'impression qu'il y ait une gauche de gauche. On est un peu au centre de toute façon en France", a-t-il renchéri, amer, avant de clamer tout son amour pour le Brésil. "C'est un endroit où il y a la corruption (...), mais y'a quelque chose de frais que j'ai un peu de mal à trouver quand je suis ici".