Stéphane Bern se livre : "Ce désir ne m’a jamais tenaillé", contrairement à son compagnon Yori Bailleres

Au cœur des projecteurs, les personnalités publiques partagent souvent leurs joies et leurs peines, offrant au public un aperçu de leur quotidien. Si certains étalent sans complexe leur bonheur familial, d'autres préfèrent une certaine discrétion. Cependant, il arrive que des figures emblématiques se confient sur des aspects plus intimes de leur existence, bousculant les attentes. C'est le cas de Stéphane Bern, l'historien et animateur tant apprécié, qui a récemment levé le voile sur une partie de sa vie privée, concernant notamment la question de la parentalité.

Le bonheur sans descendance de Stéphane Bern

Stéphane Bern, l'animateur emblématique du petit écran, vit une belle histoire d'amour. Il partage sa vie avec Yori Bailleres depuis plusieurs années déjà. En 2021, il a officialisé leur relation, une idylle solide et assumée. Le couple semble inséparable et Stéphane Bern ne manque jamais une occasion de déclarer sa flamme. Début juin, célébrant leurs cinq ans d'union, il confiait son bonheur retrouvé : "D'avoir trouvé un compagnon de vie agréable, sympathique et drôle au moment où je me disais que c'était mort. Ça m'est tombé dessus et c'est un véritable bonheur".

Malgré cet amour indéniable, Stéphane Bern et Yori Bailleres n'ont pas prévu de fonder une famille. Dans une interview accordée à Gala, Yori a avoué avoir "clairement eu ce désir" d'enfant. Cependant, il sait que son compagnon ne partage pas ce souhait. "J’avoue que quand Stéphane part pour des tournages, c’est dur de rester seul", admet-il. "Mais il… donne déjà tellement à son métier... que je crains qu’il n’ait pas les ressources d’énergie pour gérer en plus un enfant", poursuit-il. Quant à Stéphane Bern, il confirme son absence de désir d'être père : "Yori a lui-même un côté très 'enfant'. Moi, ce désir ne m’a jamais tenaillé. Peut-être parce que je suis d’une autre génération", précise-t-il.

Quand l'histoire réveille les tensions

Stéphane Bern s'est retrouvé au cœur d'une vive polémique. Il aurait en effet bravé une directive explicite en évoquant les liens troubles entre Pie XII et Adolf Hitler. L'animateur, reconnu pour son expertise historique, aurait ignoré une consigne formelle. Il aurait osé comparer l'ancien pape au dictateur nazi, ravivant un débat particulièrement sensible. Un rappel à l'ordre sec, émanant des hautes sphères, lui est tombé dessus ce mercredi 7 mai 2025. Cette décision rapide, perçue comme une sanction, souligne l'embarras institutionnel. À 63 ans, Bern subit les conséquences d'une audace jugée imprudente. Les médias s'interrogent désormais sur les limites de la liberté de parole. Cette affaire révèle des tensions entre transparence et prudence diplomatique. Malgré son expérience, l'animateur semble avoir franchi une ligne rouge. Il réveille ainsi les fantômes d'un passé encore brûlant.

La retraite, un luxe inabordable

L'animateur espère vivement que le succès du concours qu'il anime continuera. Stéphane Bern ne peut en effet pas se permettre de prendre sa retraite. "Malheureusement, je ne suis pas rentier ! Je n'ai rien mis de côté", affirme-t-il avec franchise. "J'ai de vieilles pierres qui me ruinent, donc je continue à pédaler comme un hamster dans sa roue (rires)", ajoute-t-il. Il se considère néanmoins chanceux d'être passionné par son métier. "Je suis tellement heureux de tout ce que je fais !", s'exclame-t-il. "Et j'avoue que, si je n'y prenais plus de plaisir, j'arrêterais", confie-t-il. Les exigences de son métier sont pourtant élevées : "Il faut se lever à 6 heures, se coucher très tard, les gens ne voient pas forcément tout ça". Stéphane Bern préfère rester positif malgré une dette de 4 millions d’euros. Ce fardeau financier l'oblige à maintenir un rythme de travail soutenu.