Stéphane Bern (60 ans) approché par le gouvernement : "On m'a proposé un poste"

Stéphane Bern briguera-t-il un poste prestigieux au sein du gouvernement ? Suite au remaniement initié par Emmanuel Macron le 9 janvier 2024, de nombreuses questions fusaient. En effet, selon certains bruits de couloir, l'animateur faisait l'objet d'une éventuelle nomination ministérielle. Pour ainsi dire, il figurait sur la liste des potentiels candidats pour occuper le siège de ministre de la Culture.

Stéphane Bern : "J'ai dit 'surtout pas'"

En janvier 2024, au cours d'un entretien avec la presse, l'animateur de radio a remis les pendules à l'heure. Effectivement, durant cet échange, la star de la télé a reconnu avoir été interpellé par le Président Français. Ceci dans l'éventuelle possibilité d'intégrer la grande famille gouvernementale. "On m'a proposé un poste, je ne peux pas vous dire lequel. Un jour, Emmanuel Macron m'a dit : 'Ça ne te dirait pas un poste dans le patrimoine ?' J'ai dit 'surtout pas', mon métier, c'est de faire la télévision", a déclaré Stéphane Bern au micro de Puremédias.

Pas de reconversion politique pour l'écrivain français

Alors qu'il accordait une interview à nos confrères de 20 minutes, l'animateur en couple depuis cinq ans s'est exprimé sur les rumeurs. "Je n'ai rien fait pour que mon nom circule, contrairement à d'autre", a-t-il indiqué avant de poursuivre : "On m'aurait démissionné au bout de cinq minutes, j'aurais dit tout ce que je pense. La politique ne m'intéresse pas". Par la suite, Stéphane Bern, 61 ans, reste ferme sur sa décision selon laquelle il n'accepterait en aucun cas pareille responsabilité. "Je ne veux pas m'enfermer dans un bureau, à diriger un établissement public ou être dans un ministère".

Emmanuel Macron "jette son dévolu" sur la star de France 2

Le présentateur de Laissez-vous guider a admis avoir été accosté par patron actuel de l'Élysée. "Emmanuel Macron m’avait proposé un poste, je ne peux pas dire lequel, prestigieux, dans le patrimoine. Je lui ai dit : ’Surtout pas !’. Mon métier, c’est de faire de la télévision. J’aime le rapport avec les Français, avec les gens, ce n’est pas pour m’enfermer dans un bureau, diriger un établissement public ou être dans un ministère. Je suis beaucoup plus utile là où je suis", a-t-il expliqué. Toutefois, celui qui serait ruiné compte tout de même "prendre part à la vie de la cité". "J’ai accepté une mission bénévole pour le patrimoine. Ma notoriété me permet de donner mon temps pour Humanisme et Habitat, l’association Les Petits princes…", laissait entendre le natif de Lyon.