
Rumeurs confirmées ? Zinédine Zidane lâche un « Bien sûr… j’ai hâte » qui en dit long…

Le football français vibre au rythme des transitions. Après douze longues années sous la houlette de Didier Deschamps, les Bleus s’apprêtent à tourner une page historique en 2026. Alors que les rumeurs sur son successeur enflent, une légende plane : Zinédine Zidane. Icône des stades, l’ancien meneur de jeu, auréolé de ses triomphes en club, pourrait bien troquer le maillot contre un sifflet. Entre non-dits et confidences filtrées, le suspense s’intensifie. Et si « Zizou », discret, mais déterminé, avait déjà scellé son retour… en tant que sélectionneur ?
Les déclarations qui enflamment les spéculations
Didier Deschamps l’a confirmé le 7 janvier 2024 dans le 13h de Marie-Sophie Lacarrau : son aventure avec les Bleus s’achèvera après la Coupe du Monde 2026. « Ça s’arrêtera là parce qu’il faut que ça s’arrête », a-t-il martelé, fermant la porte à toute prolongation. Mais qui pour lui succéder ? Selon L’Équipe, Zinédine Zidane, prévenu en amont, serait le favori. Lors d’un événement Adidas le 26 mai 2025, le technicien de 53 ans aurait confié, devant un cercle restreint : « Je me sens légitime en équipe de France […] Bien sûr, c’est un rêve, j’ai hâte ». Si ces propos, rapportés par un site spécialisé puis dépubliés, n’ont pas été officiellement confirmés, l’entourage de l’équipementier en attesterait la véracité. Prudent, « Zizou » se refuse à toute annonce publique par respect pour Deschamps et la préparation du Mondial. « Il y a un entraîneur aux commandes […] ce n’est pas le bon moment », a-t-il nuancé, tout en avouant : « Le moment venu, ce sera un grand plaisir ».
Une identité franco-algérienne assumée
Zinédine Zidane incarne une double appartenance, fierté algérienne et amour pour la France, sans contradiction. Dans un entretien accordé à Bien Public, Marcelo Lippi, son ancien coach à la Juventus, a révélé une anecdote révélatrice. En 1998, il surprend Zidane jouant au foot sur la place Carlo Felice à Turin, à 23h, avec des amis algériens. « Mais on fait quoi si tu te blesses ? », lui lance-t-il. Réponse du joueur : « Ce sont mes amis, je suis bien avec eux ». Une leçon de loyauté et d’humilité. Lippi souligne aussi ses débuts difficiles en Italie, comparables à ceux de Michel Platini. Ce dernier, critique envers Karim Benzema en 2006 – jugé trop ambivalent sur ses origines –, contraste avec le parcours sans tache de Zidane, symbole d’une intégration réussie. « L’Algérie est dans le cœur, mais la France m’a offert une carrière », résumait Benzema. Un équilibre que « Zizou » a toujours su incarner.
Quand Jacquet et Blanc ont façonné Zinédine Zidane
Avant de devenir légende, Zinédine Zidane a dû surmonter les doutes. Dans un entretien exclusif à L’Équipe en 2018, il revient sur les mots qui ont scellé son destin. Avant la finale de 1998, Aimé Jacquet le rassure dans les vestiaires : « T’as pas marqué, mais ce n’est pas grave ». Une phrase libératrice pour celui qui inscrira un doublé décisif. « Ça m’a retiré de la pression », confie-t-il. Laurent Blanc, autre pilier, lui glisse avant le match : « Si tu as bien un match à choisir, c’est celui-là ! ». Ces soutiens ont forgé son mental, comme le souvenir du premier match au Stade de France contre l’Espagne, où il brilla. Aujourd’hui, c’est peut-être ce mélange de sérénité et de passion qu’il souhaite transmettre aux Bleus. Prêt à écrire un nouveau chapitre, Zidane semble armé pour relever le défi… avec la même élégance.
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