
Procès P. Diddy : Cassie Ventura violemment attaquée en audience et hospitalisée en urgence, les dessous d’un scandale explosif

Les procès médiatisés révèlent souvent l’envers du décor glamour du showbiz. Entre allégations d’abus et réseaux d’influence, le cas P. Diddy cristallise les tensions. Depuis des mois, le producteur affronte des accusations de violences et d’exploitation sexuelle, dont Cassie Ventura, son ex-compagne, est la figure centrale. Mais le 27 mai, l’audience bascule : une ancienne collaboratrice attaque frontalement la chanteuse, remettant en cause son talent et son intégrité. Sous le choc, Cassie est admise en urgence à l’hôpital. Un coup de théâtre qui relance les spéculations…
Un témoignage qui fracture l’audience
Ce 27 mai, Capricorn Clark, ex-assistante de P. Diddy, assène un coup de poignard verbal. À la barre, elle décrit Cassie comme une « opportuniste sans talent », accrochée à son statut de « petite amie fougueuse » du producteur. Selon la jeune femme, la chanteuse aurait gaspillé des chances professionnelles à cause de sa consommation de drogue. Paradoxalement, Clark défend P. Diddy, soulignant son rôle de « protecteur » dans la carrière de Cassie. Cette défense orchestre-t-elle ce revirement ? Ou exprime-t-elle une rancœur personnelle ? Tandis que la salle s’embrase, l'épouse d'Alex Fine, hospitalisée pour sa grossesse, reste silencieuse. Les procureurs suspendent son interrogatoire, mais les révélations continuent : Kanye West, Britney Spears… Les noms liés aux « soirées privées » de Diddy fuient, épaississant le mystère.
Cassie Ventura brise le silence à propos de P. Diddy
Le témoignage glaçant de Cassie Ventura ressuscite un cauchemar. En 2018, après une rupture « courtoise » au restaurant, P. Diddy l’aurait entraînée chez lui. « Il m’a violée sur le sol. Je pleurais, je disais non. Ses yeux étaient noirs », confie-t-elle, voix tremblante. Malgré sa grossesse avancée, elle décrit aussi les « freak-offs », ces orgies où Diddy l’aurait forcée à des actes avec des escortes masculins. « Il contrôlait tout, c’était son fantasme », insiste-t-elle. Face à ces accusations, le rappeur, imperturbable, nie en bloc, évoquant un consentement mutuel. Pourtant, les détails sordides s’accumulent, dessinant un portrait sombre d’un homme accusé de transformer le désir en domination.
Un ex-employé de Trump parle
L’affaire prend une dimension géopolitique avec le témoignage d’un ancien caddie de Donald Trump. Proche de l’entourage de Diddy, il décrit des fêtes « dégradantes » où régnait une « débauche systémique ». « J’étais traité comme un esclave sexuel », lâche-t-il, dépeignant un climat de peur et de manipulation. Ces déclarations, bien qu’émanant d’un outsider, corroborent les récits des victimes directes. Pire : des documents judiciaires citent le prince Harry, présent à certaines soirées. Aucune accusation ne le vise, mais sa mention illustre l’étendue du réseau de Diddy. Chaque révélation ébranle un peu plus l’empire du producteur, transformant le procès en une machine à scandales capable d’éclabousser les sphères du pouvoir mondial.
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