Mort du petit Émile : ça se corse pour le grand-père maternel, l’annonce en pleine nuit !

Alors que l'étau se resserre autour des grands-parents du petit Émile, la garde à vue du grand-père a été prolongée de 24h. Détails. 

Depuis quelques heures, l’affaire Émile connaît un tournant décisif : ce mardi 25 mars 2025, quatre membres de sa famille, dont ses grands-parents maternels et deux de leurs enfants, ont été placés en garde à vue pour homicide volontaire et recel de cadavre. Un jeune oncle, tout juste majeur, est également dans le viseur des enquêteurs.

Et la garde à vue de Philippe Vedovini, le grand-père, attire particulièrement l’attention, notamment en raison d’une phrase troublante qu’il aurait prononcée lors de son audition, selon le journaliste Damien Delseny sur le plateau de Quotidien. Malgré la prolongation de ces gardes à vue à Marseille, les avocats du couple affirment leur totale coopération et disent espérer que la vérité éclate.
Disparition d’Émile : une phrase du grand-père relance les soupçons
Alors que l’enquête sur la disparition du petit Émile semble s’accélérer, une déclaration de Philippe Vedovini, grand-père de l’enfant, intrigue les enquêteurs. Lors de sa garde à vue, il aurait déclaré : « J’espère qu’on ne s’intéressera pas trop à moi et qu’on ira chercher ailleurs », selon Damien Delseny, journaliste au Parisien, présent ce mardi sur le plateau de Quotidien. Une phrase qui, selon certains, pourrait trahir une forme de nervosité, voire une volonté de détourner l’attention, alors même que la piste familiale prend de l’ampleur dans les investigations.

Face à cette pression croissante, les avocats du couple Vedovini adoptent une posture mesurée. Me Julien Pinelli, conseil d’Anne Vedovini, insiste sur sa confiance envers les enquêteurs et rappelle que la garde à vue constitue une phase essentielle mais temporaire, destinée à faire émerger la vérité dans ce dossier toujours aussi opaque. Après près de deux ans de mystère, chaque déclaration compte. Les prochaines heures s’annoncent donc cruciales.

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La garde à vue du grand-père prolongée
Près d’un an après la découverte du crâne et des vêtements d’Émile sur un sentier isolé du Haut-Vernet, l’enquête sur la mort du garçonnet de deux ans et demi connaît une nette accélération. Mardi à l’aube, les gendarmes ont perquisitionné le domicile familial à La Bouilladisse, saisissant notamment une voiture et une remorque pour chevaux. Dans le même temps, les grands-parents maternels, Philippe et Anne Vedovini, ainsi que deux de leurs enfants majeurs ont été placés en garde à vue.

Et ce mercredi, celle du grand-père a été prolongée de 24 heures, tout comme celles de l’oncle et de la tante du petit garçon, entendus dans une autre gendarmerie du département. Selon l’avocate du grand-père, plusieurs auditions sont encore prévues dans une atmosphère « sereine », bien que le rythme soit soutenu. Les autorités disposent désormais d’un délai restreint pour trancher : remise en liberté ou déferrement devant un juge, au plus tard jeudi à 6 h 05.

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