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Meghan Markle, personne indésirable, « pratiquement invisible » et distante selon ses voisins à Montecito : « Ils se croient tout permis »

Meghan Markle, personne indésirable, « pratiquement invisible » et distante selon ses voisins à Montecito : « Ils se croient tout permis »
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Depuis leur retrait de la famille royale en 2020, Meghan Markle et le prince Harry ont élu domicile à Montecito, en Californie. Ce havre de paix, peuplé de célébrités comme Oprah Winfrey, semblait idéal pour reconstruire leur vie loin des tumultes médiatiques. Pourtant, derrière les portes closes de leur luxueuse propriété, une autre réalité se dessine. Si Harry séduit par son accessibilité, Meghan suscite critiques et incompréhension. Les résidents dénoncent son refus de s’intégrer, creusant un fossé grandissant avec la communauté. Entre discrétion perçue comme du mépris et projets ambitieux contrariés, la duchesse de Sussex navigue en eaux troubles…

Entre absence et mécontentement

Depuis 2020, Meghan Markle cultive une image de recluse à Montecito, loin de l’effervescence initiale suscitée par son arrivée. Richard Mineards, voisin et ancien journaliste royal, dresse un constat sévère dans Ici Paris : « Meghan est pratiquement invisible. Son rapport à Montecito est… distant ». Alors que Harry séduit par sa simplicité — aperçu à vélo ou dans des cafés bio —, la duchesse ignore systématiquement la vie locale. Aucun gala caritatif, aucune rencontre communautaire : son absence irrite des voisins déçus. Un incident résume cette fracture : un résident âgé s’est vu refuser l’entrée de sa propriété pour lui offrir un documentaire sur l’histoire régionale. « Il n’a jamais passé la grille », confirme Mineards, soulignant une froideur qui contraste avec l’hospitalité attendue dans ce quartier huppé.

Tourisme, tensions et privilèges

L’installation de Meghan Markle et du prince Harry a radicalement transformé Montecito, ébranlant sa quiétude légendaire. En janvier 2025, Vanity Fair révélait l’exaspération croissante des habitants : « Ils se croient tout permis ! », lance l’un d’eux, dénonçant un sentiment d’impunité. L’afflux de touristes et de paparazzis a saturé les rues, tandis que les prix de l’immobilier flambaient. Le restaurant Lucky’s, fréquenté par le couple, est devenu inaccessible sans réservation des mois à l’avance. Pourtant, cette notoriété mal vécue cache une ironie amère : les Sussex, venus chercher l’anonymat, sont accusés d’en être les premiers perturbateurs. « Ils ont fui l’Angleterre pour échapper aux médias, mais tout ce qu’ils font ici attire l’attention », regrette un riverain sous couvert d’anonymat.

Le grand écart de Meghan Markle

Alors que son image locale se fissure, Meghan Markle assume publiquement ses défis professionnels. Lors du sommet TIME100 en avril 2025, elle a reconnu des erreurs stratégiques : « Nous avons lancé trois initiatives simultanément. Ces dix-huit mois ont été marqués par une ambition sans précédent ». Un mea-culpa rare pour l’ex-actrice, qui évoque aussi sa marque lifestyle As Ever — initialement nommée American Riviera Orchard —, confrontée à des accusations de plagiat en Espagne et à New York. Dans son podcast Confessions of a Female Founder, elle martèle sa volonté d’indépendance éditoriale, distincte des mémoires explosifs d’Harry. « J’ai encore beaucoup à vivre avant d’écrire le mien », déclare-t-elle, alimentant les spéculations sur l’état de son mariage. Entre transparence calculée et mystères entretenus, la duchesse joue un équilibre périlleux…

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