
Léa Salamé au 20h : un râteau salé pour Patrick Cohen

Les nominations médiatiques provoquent souvent des remous insoupçonnés. À France Télévisions, l’arrivée de Léa Salamé au 20h a déclenché une cascade de conséquences inattendues. Pourtant, cette nomination masque des tractations complexes en coulisses. Des choix stratégiques ont redistribué les rôles comme un jeu de dominos subtil. Certaines ambitions se sont brisées net, sans que la principale concernée n’y puisse rien. Ce remue-ménage illustre les fragiles équilibres du paysage audiovisuel français. Derrière les sourires télévisuels, des destins professionnels basculent parfois silencieusement.
Un effet domino aux conséquences amères
Ce que l’on sait moins, c’est que Léa Salamé n’a pas été le premier choix pour le 20h. Caroline Roux a longtemps été pressentie en secret. Mais cette dernière a finalement décliné l’offre pour rester fidèle à C dans l’air. Léa Salamé a confirmé leurs échanges lors d’une interview récente. Elle a d'ailleurs souligné la légitimité professionnelle de sa consœur. Le refus de Caroline Roux a de ce fait créé un scénario imprévu. Le Canard Enchaîné a alors révélé une information cruciale. Patrick Cohen devait hériter de C dans l’air en cas de départ de Roux. Cette opportunité s’est brutalement envolée. De plus, le journaliste Kevin Boucher-Rappet a validé cette rumeur sur X. Léa Salamé a donc involontairement bloqué les plans de Cohen. Il a dû abandonner son rêve d’une case quotidienne puissante. France Télévisions a vécu un véritable tremblement de terre médiatique.
France Inter règle ses comptes avec Léa Salamé
Pendant que certains pleurent ce départ, d’anciens chroniqueurs jubilent ouvertement. Guillaume Meurice, Aymeric Lompret et Pierre-Emmanuel Barré ont récemment orchestré une satire cinglante sur Radio Nova. Meurice lance d'abord le ton avec une fausse tristesse théâtrale. Barré enchaîne ensuite en pastichant le style incisif de Salamé. Il imagine une question absurde adressée à Jordan Bardella. Puis, il invente une rumeur fantaisiste sur une pause politique. La punchline finale provoque ainsi un éclat de rire généralisé. Pierre-Emmanuel Barré a même affirmé préférer "boire le pipi d’Aymeric" plutôt que de subir Salamé. Alors que les quolibets fusent comme des flèches empoisonnées, l’équipe démontre une complicité anti-Salamé sans ambiguïté. L’humour devient ici une arme de déstabilisation massive.
Piques conjugales et ombres politiques
La nomination de Léa Salamé a suscité des critiques récurrentes. Son compagnon Raphaël Glucksmann, lui, représente un sujet épineux. Pour cause, l’homme politique a parfois compliqué la position médiatique de la journaliste. Néanmoins, leur intimité réserve également des surprises piquantes. Libération a d'ailleurs dévoilé leurs échanges sans concession. En effet, Glucksmann a confessé les remarques cinglantes de sa compagne. "Eh oh, tu planes" ou "Tu as été naze" ponctuent leurs désaccords. Ces formules illustrent ainsi une franchise décomplexée. L’eurodéputé assume pourtant ces joutes verbales familiales. Il a même évoqué ses véritables sources de bonheur. Aussi, les matchs de football avec ses fils le comblent absolument. Les déjeuners en famille constituent, eux aussi, ses moments préférés. Glucksmann vit donc ces piques comme l’envers d’une relation authentique.
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