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La chanteuse Zaz se confie sur ses débuts difficiles : “C’était violent la méchanceté”

La chanteuse Zaz se confie sur ses débuts difficiles : “C’était violent la méchanceté”
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Interrogée cette semaine dans l’émission C à Vous, Zaz est revenue sur ses débuts particulièrement difficiles. Aujourd’hui artiste internationale reconnue, nouvelle jurée de The Voice, la chanteuse est également comblée personnellement. Bien qu’elle reste très secrète à ce sujet, elle a révélé s'être mariée et avoir accueilli une petite fille ! À 45 ans, Zaz est comblée. Mais face à Anne-Elisabeth Lemoine, elle s’est livrée sur les challenges compliqués auxquels elle a dû faire face, et comment elle les a surmontées. 

Une relation toxique avec le public ?

Avant de devenir une chanteuse populaire, Zaz enchaînait les petits boulots artistiques pour survivre :"Mais avant, j'ai été intermittente, j'ai fais du bal, j'étais dans des orchestres, j'ai travaillé un peu partout". Mais malgré cette détermination, elle n’a pas pu échapper à la précarité du métier d’artiste, et a fini par se retrouver à la rue : “La rue, ça a été le moment où je ne trouvais plus d'endroit". Bien que tout la pousse à arrêter, la jeune femme ne lâche rien. Elle finit par se faire repérer en chantant dans la rue, et sa carrière décolle du jour au lendemain. Mais bien qu’elle soit enfin à l’abri du besoin, la célébrité ne montre pas que des avantages : “J’avais 30 ans quand j’étais connu et c’est vrai que c’était violent la méchanceté qu’il peut y avoir de gens qui crachent leur venin derrière leur écran en plus, parce qu’ils ne le font pas devant. Mais ça a aussi révélé aussi des failles à l'intérieur de moi.”

Zaz : “Je voulais sauver le monde” 


Zaz révèle donc le travail et la philosophie qu’elle a adopté pour faire face à ses détracteurs. En effet, plutôt que de dénoncer le harcèlement qu’elle pouvait subir, elle a décidé de se recentrer sur elle-même : “Je m’étais mis un peu une cape de super héros. Je voulais sauver le monde, je voulais changer le monde. Je veux toujours le changer hein, mais je voulais le sauver. Et j'étais un peu dans ce truc de sauveur, victime, bourreau. Cet espèce de triangle la. Mais en fait, on ne peut pas changer les gens, on ne peut pas changer l’extérieur, mais on peut changer soi même, et c’est comme ça qu’on change le monde.” Une magnifique philosophie de vie que plus de personnes devraient adopter !

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