
Kim Kardashian au tribunal : Révélations chocs et coup de théâtre en pleine audience

Les affaires judiciaires impliquant des célébrités captivent immanquablement l'attention du public, mêlant glamour et drame judiciaire. Le procès très médiatisé du braquage subi par Kim Kardashian à Paris en octobre 2016 ne fait pas exception. Plusieurs années après les faits, alors que la justice suit son cours avec l'audience des douze accusés, de nouveaux développements continuent d'émerger. Un incident récent, rapporté en pleine session, a d'ailleurs particulièrement retenu l'attention. La star américaine a personnellement signalé des manquements au règlement intérieur du tribunal, ajoutant une nouvelle dimension à cette saga.
Infraction au palais de justice : Kim Kardashian alerte le juge en direct
Le déroulement du procès du braquage de Kim Kardashian a été perturbé par des comportements inappropriés au sein même de la salle d'audience. En effet, selon des informations initialement publiées par Le Figaro, des photographies et des vidéos ont été prises clandestinement pendant les débats. Ces agissements contreviennent formellement aux règles strictes encadrant les audiences judiciaires en France. Vigilante, l'interprète de Kim Kardashian a promptement informé le président de la cour de ces infractions manifestes. Face à cette situation, le juge a réagi sans délai, suspendant temporairement la séance pour rappeler fermement les interdictions. Il semblerait qu'au moins un avocat de la défense ait été identifié comme filmant les échanges. Une infraction qui pourrait lui coûter jusqu'à 18 000 euros d'amende et une réprimande sévère devant le barreau.
Entre trauma récurent et lenteurs judiciaires
Près de dix ans après le traumatisant braquage, le procès s'est finalement ouvert à Paris, suscitant des attentes considérables. L'atmosphère y est décrite comme "en demi-teinte", marquée par les récits contradictoires et la minimisation des rôles par certains accusés. Kim Kardashian, témoignant par visioconférence, a réitéré le récit glaçant de son agression, où des bijoux d'une valeur de "6 millions de dollars" lui avaient été dérobés. La longueur des procédures judiciaires françaises se fait également souligner, ayant permis à certains protagonistes de publier leurs versions des faits. Ces délais et les différentes stratégies de défense complexifient de ce fait la quête de vérité dans cette affaire hors norme.
Entre justifications pécuniaires et accusations contre l'État
Parmi les accusés, Yunice Abbas, l'un des "papys braqueurs", s'est distingué par des déclarations pour le moins surprenantes. Dans un livre autobiographique, il expose sa version des faits, expliquant avoir participé au vol par besoin d'argent. Il affirme être resté "rangé pendant neuf ans" avant de replonger, sollicité pour le braquage de Kim Kardashian. Plus étonnant encore, Yunice Abbas n'hésite pas à pointer du doigt l'État français. Il se plaint de s'être vu "refuser le chômage" après une précédente incarcération, et ce, "malgré [s]es cotisations". Selon lui, ce manque de soutien l'aurait en quelque sorte poussé à commettre de nouveaux délits.