
Kendji Girac (29 ans) très radical sur la religion : "Il faut avoir peur de Dieu"

Kendji Girac s'est fait connaître du grand public en 2014 en remportant la saison 3 de The Voice : La Plus Belle Voix. Grâce à son charisme et sa voix unique, il a séduit les coachs… puis le cœur des Français. Par la suite, il est lui-même devenu coach dans l'émission qui l'a révélé. Depuis, l'artiste enchaîne les succès avec des titres puissants comme Andalouse ou Les yeux de la mama, qui ont conquis les mélomanes. Sa carrière ne cesse de grandir, et il n'a pas fini de surprendre. Ce jeudi 3 avril, Kendji célèbre d'ailleurs son 29e anniversaire.
Kendji Girac à cœur ouvert sur la communauté gitane
En plus de sa carrière musicale impressionnante, Kendji Girac cultive une autre passion tout aussi essentielle à ses yeux : sa communauté. Fièrement attaché à ses racines gitanes, il n'a jamais cessé de porter haut les valeurs qui lui ont été transmises. Au fil des années, celui qui a récemment annoncé la naissance de son deuxième enfant à travers un adorable cliché posté sur les réseaux sociaux s'est imposé comme un véritable porte-voix pour les siens, n'hésitant pas à rappeler l'importance du respect, de la solidarité et de la foi.
Le lien particulier du chanteur avec la religion
"On est si nombreux que l'on ne voit pas toujours les voyous qui tentent de se mêler à nous. C'est eux qui donnent une mauvaise image des gitans. Nous, on a des valeurs, on ne boit pas, on ne vole pas", confiait Kendji Girac dans les colonnes de Libération en 2015. Lors de cet entretien avec nos confrères, Kendji Girac s'est particulièrement penché sur un aspect essentiel de la vie gitane : la religion. S'il n'est pas branché lecture, il est particulièrement fier de son attachement à la Bible.
"Il faut avoir peur de Dieu"
"Il y a beaucoup de prophéties qui font peur, mais il faut avoir peur de Dieu. D'ailleurs, tout ce qu'on voit dans le monde actuel, l'argent, l'orgueil, tes amis devenus tes ennemis, tout est écrit dans la Bible", avait expliqué Kendji Girac, toujours dans Libération, avant d'ajouter que le monde lui faisait "peur". Soucieux de son rôle de citoyen, il déclarait d'ailleurs vouloir ardemment participer aux élections. Manque de chance, il avouait également éprouver une certaine hésitation à franchir le pas : "J'aimerais bien voter, mais je n'arrive pas à comprendre. Ce qui est sûr, c'est que j'aime mieux la musique que la politique".
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