
“J’ai été déclaré mort…” Jean-Luc Reichmann revient sur ce terrible accident qui a failli lui couter la vie

Jean-Luc Reichmann était le premier invité d’Anissa Haddadi, qui reprend pour l’été l’émission Culture Média sur Europe 1. L’occasion pour lui de revenir sur l’exploit qui marque l’histoire de la télévision française. En effet, cette semaine, après 647 émissions et plus de deux millions d’euros de gain, le candidat des 12 coups de Midi, Émilien, s’est fait éliminer. Un record mondialement reconnu. Malheureusement, la nouvelle de sa défaite avait fuité sur les réseaux sociaux, avant la diffusion de l’émission : "Ce qui était hyper blessant, c’est de se dire que dans mon équipe, il y a un traître", témoigne l’animateur.
Jean-Luc Reichmann : “Après, je tombe dans le coma”
L’ancien présentateur d’Attention à la Marche s’est également exprimé sur ses passions. Féru de moto depuis le plus jeune âge, il a parcouru le monde en deux-roues : "La moto, pour moi, c’est l’évasion. Je me sens libre. J’ai traversé les États-Unis du nord au sud, d’est en ouest. J’adore ce côté évasion, le contact de l’air". Pourtant, cette passion a bien failli lui coûter la vie : “Ça m’a valu quelques déboires comme vous le savez". En 1984, Jean-Luc Reichmann est victime d’un grave accident de la route : "J’ai entendu, je vous promets que c’est vrai, sur la route de Saint-Geniès-Bellevue – Launaguet à Toulouse, le gendarme qui a dit : ‘il est mort’, en parlant de moi." Puis, le trou noir : "Après, je tombe dans le coma." Il ajoute, amusé : "J’ai juste été déclaré mort sur la route, quel est le problème ?"
En frôlant la mort, Jean-Luc Reichmann réalise le cadeau qu’est la vie
Un accident qui lui apprend une belle leçon de vie : "Ce qui ne tue pas rend plus fort. Et je me suis toujours dit que cette vie était éphémère et que tout pouvait s’arrêter. Nos métiers, c’est la même chose, ça m’a endurci.", "Quelque part, ça m’a d’un seul coup fait tilt, de se dire : tout ça va trop vite. Il ne faut pas oublier que tout peut s’arrêter d’un instant à l’autre. On a beaucoup de chance d’être là, de vivre de nos passions." Mais pour autant, Jean-Luc Reichmann n’a pas dit adieu à sa passion dangereuse : "J’ai commandé la nouvelle moto alors que j’avais encore les béquilles. Ma mère a pleuré quand elle a vu tout ça." Heureusement pour lui, il a su se montrer plus prudent !
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