
Enora Malagré (44 ans) sans filtre sur sa vie intime : "je vous passe les nuits sans..."

Figure emblématique de la télévision française, Enora Malagré fait sourire ou réagir bon nombre de téléspectateurs qui la regardent désormais sur M6, dans l'émission La Grande Semaine. L'ancienne chroniqueuse de TPMP n'hésite pas à dire tout haut ce qu'elle pense tout bas.
Enora Malagré se confie sur une période pas facile de sa vie
Et sur son compte Instagram aussi, Enora Malagré se confie sur sa vie privée, ses coups de coeur et ses coups de bleues. Alors, ce mardi 27 mai 2025, la belle blonde est revenue sur un sujet qui la touche personnellement : "Coucou les amis, je suis en répétition pour une émission qu'on va enregistrer et je voulais juste me plaindre trois secondes parce que ça fait du bien", commence-t-elle par déclarer. En effet, Enora Malagré va tout simplement se confier sur un sujet intime, la périménopause, cette étape de l'existence dans la vie d'une femme, qui survient avant d'avoir la ménopause. "Je découvre la périménopause heureusement grâce à ma copine, Elsa Wolinski, donc j'ai été un peu prévenue".
L'animatrice prend la parole sur un sujet sensible
Et apparemment, pour l'animatrice de 44 ans, cette période n'est pas de tout repos. "Je ne pensais pas que c'était une telle tannée, je vous passe les nuits sans sommeil, les suées, les montées de nerfs. J'ai fait un rendez-vous professionnel la semaine dernière, j'ai été odieuse, autant vous dire que je n'aurai pas le job", lance-t-elle, étonnée de réagir comme cela. Enora Malagré souhaite ainsi partager avec sa communauté ce qu'elle ressent au quotidien : "J'ai des cycles parfois courts, parfois hyper longs. Là, j'ai l'impression d'avoir attendu 1.500 ans avant d'avoir mes règles et en plus, j'ai hyper mal, sans compter que j'ai toujours de l'endométriose".
Ce message fort pour les femmes
En effet, depuis de nombreuses années, Enora Malagré tente d'élever les consciences face à cette maladie qui fait terriblement souffrir les femmes. "Donc j'ai hyper mal avant et pendant. J'en chie, mais j'en chie les amis ! Donc non seulement j'en bave, mais en plus, je suis odieuse. Merci la péri, vraiment, c'est super", lance-t-elle, avec ironie. Une façon de déculpabiliser les femmes, elle qui avait lancé un message bouleversant pour toutes celles qui ne veulent pas ou qui ne peuvent pas avoir d'enfant : "Pour celles qui n’ont pas d’enfants. Par choix ou n’y parviennent pas. Nous ne sommes pas représentées (j’essaie modestement, en me sentant bien seule...), ni sur les réseaux ni dans les médias - mais nous sommes bien là. Nous ne valons pas moins que nos amies mamans, nous avons tout autant à transmettre."
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