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Bruno Guillon : "Je ne conjugue pas mon avenir avec celui de Cyril Hanouna", sans filtre face à l'arrivée de Baba sur Fun Radio

Bruno Guillon : "Je ne conjugue pas mon avenir avec celui de Cyril Hanouna", sans filtre face à l'arrivée de Baba sur Fun Radio
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Le milieu radiophonique français est souvent le théâtre de rivalités artistiques spectaculaires. Actuellement, un duel médiatique oppose Bruno Guillon à Cyril Hanouna, deux figures incontournables des ondes. Alors que Fun Radio s’apprête à accueillir Hanouna, Guillon y règne déjà avec une matinale florissante. Leurs échanges piquants alimentent les chroniques people depuis des semaines. Pourtant, derrière les sarcasmes affichés, se joue une guerre d’influence aux enjeux professionnels tangibles. Cette cohabitation explosive pourrait redéfinir l’équilibre interne du groupe M6. L’été s’annonce brûlant avant une rentrée sous haute tension.

Cyril Hanouna lance les hostilités, Guillon esquive les questions

Au cœur des tensions, un autre combat se mène ouvertement. Cyril Hanouna taclé Bruno Guillon, futur animateur matinal de Fun Radio, le qualifiant ironiquement de "tapissier". Il suggère que Cauet surpasserait aisément son rival. Le groupe M6 réagit vivement, soutenant Guillon et citant ses performances : 1,3 million d’auditeurs quotidiennement, soit une progression fulgurante de 17%. Le 7 juin, dans "Quelle époque !", Léa Salamé pousse l’animateur dans ses retranchements. Interrogé sur son avenir radiophonique, Guillon botte d’abord en touche avec un laconique : "Il n’y a pas de réponse". Sous pression, il concède finalement : "Je ferai de la radio à la rentrée", laissant planer un doute palpable. Cette évasive réponse trahit une fragilité interne au sein du groupe.

Cohabitation forcée ? Bruno Guillon affiche son indifférence

Une fréquence commune réunit désormais ces deux ennemis médiatiques. Interrogé en avril sur Hanouna, Bruno Guillon reconnaissait leurs divergences : "On n’est pas complètement sur la même longueur d’onde". Deux mois avant la rentrée, dans TV Mag, il minimise pourtant l’impact de cette cohabitation. "Je ne conjugue pas mon avenir avec celui de Cyril Hanouna", assène-t-il, soulignant leur asymétrie médiatique. L’animateur se dit imperméable aux provocations : "Ça doit beaucoup plus l’obnubiler que moi". Surtout, Guillon brandit ses performances d’audience comme un bouclier. Sa matinale, en hausse de 17%, ne redoute aucun concurrent. "Pour être rassuré vis-à-vis de Cyril Hanouna, il faudrait qu’il me fasse peur", lance-t-il, défiant.

Le groupe M6 monte au créneau

Les attaques de Hanouna provoquent un séisme numérique immédiat. Après un silence initial, Bruno Guillon réplique par les chiffres. Sur X, il exhibe les 26,5% de parts d’audience de Chacun son tour chez les 25-49 ans. Ce score pulvérise les records de France 2 ce mardi-là. Plus significatif encore, le groupe M6 officialise son soutien dans un communiqué cinglant. "Le Groupe M6 apporte tout son soutien à Bruno Guillon", écrit-il, déplorant "vivement les propos tenus dans TPMP". La direction vante les 1,3 millions d’auditeurs de la matinale et sa croissance exceptionnelle. Elle confirme la confiance totale en l'animateur pour la saison prochaine.

L’affrontement Guillon-Hanouna transcende désormais la simple rivalité d’ego. Il incarne les défis des médias face aux chocs de personnalités. Tandis que Hanouna agite le buzz, Bruno Guillon campe sur ses performances. Le groupe M6, lui, mise clairement sur la stabilité audimatique de sa star. La rentrée s’annonce comme un bras de fer stratégique où les audiences parleront plus fort que les polémiques. Une seule certitude : Fun Radio deviendra l’épicentre médiatique de septembre.

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