Alexandra Rosenfeld souffrante, l’ancienne Miss France partage une mauvaise nouvelle : "Ça ne va pas du tout...

Les problèmes de santé d’Alexandra Rosenfeld remontent au 17 juillet dernier, lorsque l’ancienne Miss France a été admise d’urgence à l’hôpital. Elle avait en effet du mal à respirer et les médecins ont immédiatement suspecté une embolie pulmonaire. Ce qui a amené ces derniers à réaliser une batterie de tests afin de déterminer ce qu’il lui arrivait réellement. Une fois les résultats dévoilés, ils ont fini par comprendre qu’il s’agissait en réalité d’une thrombose veineuse. Le 20 juillet 2024, elle s’était emparée de ses réseaux sociaux pour donner de ses nouvelles et visiblement, la situation ne s’est pas améliorée.

Alexandra Rosenfeld face à de graves problèmes de santé

Dans sa story, Alexandra Rosenfeld ne cache pas à quel point la situation est grave. Son état de santé s’est en effet dégradé : « Ça ne va pas du tout. J’ai des douleurs partout, c’est affreux ». Les douleurs seraient même tellement intenses qu’elle aurait du mal à se déplacer. De quoi motiver ses mots profonds comme quoi : « Je ne souhaite ça à personne. Ces attentes, de ne pas savoir d’où ça vient… C’est le plus dur ». Deux jours après, elle a de nouveau déclaré : « Pour le moment, on est sur une suspicion de maladie auto-immune et le syndrome de Cockett ».

Une maladie qui affecte surtout les membres inférieurs

Egalement appelée syndrome de May-Turner, cette maladie dont Alexandra Rosenfeld pourrait souffrir apparaît d’une manière générale chez la femme. Les symptômes se traduisent par une compression au niveau de l’une de ses veines par une artère.

Forcément, cela perturbe la circulation sanguine, surtout vers les membres inférieurs. Autant dire qu’un lourd traitement attend désormais Alexandra Rosenfeld, comme elle l’a annoncé dans sa publication.

Un lourd traitement attend l’ancienne Miss France

Selon Alexandra Rosenfeld, son traitement risque de durer longtemps : « Six mois de collants de contention et au moins six mois d’anticoagulants avec peut-être un stent à la clé. Les bilans sont longs, surtout avec la prise d’anticoagulants qui peut fausser les résultats ». Tout cela sans compter sa mise au repos forcé, restreignant fortement ses déplacements : « Je ne peux toujours pas marcher sans les béquilles, ni me déplacer sans gueuler aïe toutes les cinq minutes. Ma seule obsession : quand vais-je pouvoir reprendre le sport ? ».