Vivement lundi: la tempête
Cette semaine, nous avons fait la connaissance de Ciaran, qui laissera de moins bons souvenirs à certains qu’une chanteuse de R’n’B des années 1990.
Chaque samedi, Louison chronique un objet ou un événement de notre quotidien.
Comme disait peut-être William Shakespeare, «la tempête, c’est chouette».
Bon évidemment, le mec parlait hypothétiquement plutôt de sa dernière pièce de théâtre que du dernier bulletin d’alerte Météo-France. Car le Willy, c’est certain, n’en avait pas grand-chose à carrer de la couleur du niveau de vigilance de la façade Atlantique sur une bande pleine de sable et de cailloux allant du Touquet à Saint-Jean-de-Luz. Willy, je dirais même, il s’en claque les genoux de savoir qu’Enedis fait tout son possible pour aller rebrancher illico presto tous les compteurs Linky d’Ille-et-Vilaine, mais que c’est compliqué à faire en deux-deux, car il est tombé plus d’arbres en une nuit dans ce petit bout de la France qu’en une dizaine de minutes dans la forêt amazonienne. Non, y a pas de tempête du côté du Brésil, juste des gens qui n’ont pas l’air de kiffer beaucoup notre planète et préfèrent la transformer en carton pour… Amazon.
Au moins, ça boucle la boucle.
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