Violentomètre : quel est cet outil de lutte contre les violences faites aux femmes ?

Dans notre enquête exclusive publiée ce mercredi 23 avril, l’une des ex-compagnes de Jean Imbert raconte comment le violentomètre lui a permis de mesurer la toxicité de sa relation. Quel est cet outil conçu en 2018 par l’association En Avant Toute(s) avec les observatoires des violences faites aux femmes de Seine-Saint-Denis et de Paris ?

Dans une société patriarcale qui a tendance à banaliser les violences faites aux femmes, voire même à les romantiser (qui n’a jamais entendu que la jalousie était une preuve d’amour ?), identifier les situations abusives n’est pas toujours évident. C’est d’autant plus vrai pour les jeunes filles aux prémices de leur vie amoureuse et sexuelle qui, malgré leur jeune âge, ne sont pas épargnées par les violences conjugales : 29 % des victimes entre 2011 et 2018 étaient âgées de 18 à 29 ans, selon un rapport du ministère de l’Intérieur.

C’est dans ce contexte que l’Observatoire des violences envers les femmes du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, en partenariat avec son équivalent parisien et l’association En Avant Toute(s), a repris et adapté en 2018 le « violentómetro » mexicain.

Retrouvez notre édito ainsi que notre enquête intégrale sur Jean Imbert  :

• L'édito de ELLE : Non, la passion ne justifie pas la violence
• Exclusif. Quatre ex-compagnes de Jean Imbert témoignent de violences conjugales

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