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Procès P. Diddy : l'accusation dénonce un système d’abus sexuel orchestré avec « pouvoir, violence et peur »

Procès P. Diddy : l'accusation dénonce un système d’abus sexuel orchestré avec « pouvoir, violence et peur »
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Alors que le procès pour trafic sexuel de Sean Combs touche à sa fin à New York, la procureure a livré un réquisitoire accablant contre le magnat du hip-hop. Elle l’accuse notamment d’avoir instauré un trafic sexuel auquel il forçait ses ex-compagnes à participer, lors de ses fameuses « freak-offs ».

Le procès P. Diddy touche bientôt à sa fin. Dans son réquisitoire, l’accusation a affirmé que le magnat du hip-hop avait usé « du pouvoir, de la violence et de la peur » pour pousser d'anciennes petites amies à participer sans leur consentement à des marathons sexuels, a lancé jeudi la procureure au tribunal de New York.

Des crimes permis par le « pouvoir, la violence et la peur »

Après des semaines de témoignages bouleversants, les parties présentaient leurs derniers arguments jeudi dans le procès pour trafic sexuel du fondateur du label Bad Boy Records, Sean Combs de son vrai nom. « Il s'est servi du pouvoir, de la violence et de la peur pour obtenir ce qu'il voulait. Et il comptait sur le silence et la honte pour garder ses crimes cachés », a déclaré aux jurés du tribunal de Manhattan la procureure Christy Slavik.

« Il est devenu de plus en plus puissant et dangereux »

« Il est devenu de plus en plus puissant et dangereux grâce au soutien de sa garde rapprochée et de ses affaires », a-t-elle ajouté, en référence à la fortune du rappeur, producteur et hommes d'affaires, évaluée à environ 700 millions de dollars par le magazine...

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