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Pourquoi l’embouteillage législatif au Parlement n’est pas sans conséquence pour les Français

Pourquoi l’embouteillage législatif au Parlement n’est pas sans conséquence pour les Français
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L’INFO POLITIQUE DE LA SEMAINE. À seulement deux mois de la pause estivale, les dossiers législatifs s’entassent au Parlement. Les élus risquent de devoir siéger cet été, car un tel retard dans les travaux parlementaires n’est pas sans conséquence pour les Français.

Dissolution de l’Assemblée nationale, motion de censure, vacances, pluie d’amendements… Un enchaînement d’interruptions du système législatif aux répercussions concrètes sur la vie parlementaire. À un peu plus de deux mois de la clôture des sessions ordinaires, périodes pendant lesquelles les députés et sénateurs français siègent, il est difficile d’imaginer que le Parlement boucle ses dossiers à temps. 

Pour remédier à ce retard, les élus pourraient bien jouer les prolongations cet été dans la limite du 1er octobre, date de la reprise habituelle des sessions ordinaires. Et pour cause, un embouteillage législatif a des implications bien plus importantes sur la vie des citoyens qu’il n’y paraît. 

En quoi consiste cette mesure ?

Le doux bruit des vagues, la sensation du sable chaud sous ses pieds…Autant de perspectives estivales réjouissantes qui s’éloignent pour nos élus ces derniers jours.

Les parlementaires sont supposés siéger du 1er octobre au 30 juin, dans la limite de 120 jours de séances par an, c’est ce qu’on appelle les sessions ordinaires. Passé ce délai, un des rares recours pour poursuivre les travaux parlementaires est l’ouverture...

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