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Orthographe : faut-il écrire "Y'a-t'il", "Y a t-il" ou "Y a-t-il" ?

Orthographe : faut-il écrire "Y'a-t'il", "Y a t-il" ou "Y a-t-il" ?
Publié le 17 juil. 2024 à 00:43, mis à jour le 16 juil. 2024 à 22:56

Doit-on écrire "y'a-t'il", "y a t-il" ou "y a-t-il" ? À l'écrit, quelle est la bonne locution à employer ? Entre trait d'union et apostrophe, vers quelle option faut-il se diriger ? Sont-elles toutes correctes ou est-ce qu'une seule est à privilégier ? Voici la règle à employer pour ne plus faire la faute.

"Y'a-t'il un problème ?", "Qu'y a t-il ?", "Y a-t-il quelque chose qui ne va pas ?". Parmi ces trois expressions, quelle orthographe est la bonne ? La subtilité est si mince qu'on ne distinguerait presque plus la faute ! Et pourtant, il y a bien des erreurs qui se cachent dans ces phrases. Sur les trois, seulement une est correcte. Mais laquelle ? Pour bien comprendre la nuance entre toutes ces propositions, il faut d'abord remonter à l'origine de l'apostrophe. Dans sa rubrique "Dire/Ne pas dire", l'Académie française, explique alors : "En français, l'apostrophe note l'élision d'une voyelle placée en fin de mot devant un autre mot commençant également par une voyelle ou par un h muet." On dit par exemple "J'aime" et non "Je aime", ou encore "L'arbre" et non "Le arbre". Mais alors, dans notre cas très précis, quelle locution faut-il employer ?

"Y'a-t'il", "Y a t-il" ou "Y a-t-il" ? (...)
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