logo Elle

La réponse de Jean Imbert à notre enquête pour violences conjugales

La réponse de Jean Imbert à notre enquête pour violences conjugales
Publié le

Contacté une première fois par nos soins le 12 février dernier, Jean Imbert nous a renvoyées vers son équipe de communication, que nous avons rencontrée lors d’un rendez-vous de deux heures, le 25 février, rendez-vous auquel le chef était convié, mais auquel il n’est finalement pas venu.

Concernant les épisodes de jalousie, dénigrements sur son poids, incitation à fermer son compte Instagram rapportés par Zoé*, les communicants de Jean Imbert répondent que « Tout cela s'inscrit manifestement dans le cadre d’une relation amoureuse, avec des particularités que l’on peut apprécier sur le plan moral ou pas si on a envie d'évaluer à cette aune les interactions d'un couple, mais qui étaient en tout cas parfaitement réciproques ». Ils affirment également que sur une relation de trois mois, Zoé et le chef du Relais Plaza ont échangé plus de 30 000 messages, dont 19 500 venant de la jeune femme.

Sur les reproches véhéments qu’il lui adresse par texto parce qu’elle est au téléphone avec une amie, ou au cinéma, et ne répond donc pas à ses appels pendant une heure, lui disant « cela me détruit » ou « j’aurais tellement honte à ta place », la communication de Jean Imbert répond que « deux anecdotes ne font pas une règle », et ajoute que « il arrive également bien des fois à Zoé de manifester son mécontentement lorsque Jean Imbert ne lui répond pas au téléphone. Elle écrit ainsi le 14 octobre "t'as éteint ton tel ?...

Publicité

Accessibilité : partiellement conforme