"Ils ont vidé le minibar" : un cardinal raconte la facture très salée d’un ancien conclave

Si les cardinaux sont tenus au secret lors d’un conclave, il semble que les langues puissent se délier une fois l’élection terminée. C’est ainsi qu’un cardinal s’est confié auprès du média "Corriere della Sera", racontant notamment la mésaventure d’un autre cardinal un peu trop porté sur la boisson.
Le jeudi 8 mai 2025, le monde apprenait l’élection du nouveau souverain pontife : choisi par ses pairs, Robert Francis Prevost sera désormais Léon XIV, successeur du pape François. Un choix arrêté à l’issue du conclave qui avait débuté le mercredi 7 mai au Vatican, attisant toutes les curiosités par son protocole mystérieux. Car à moins d’avoir vu le film d’Edward Berger intitulé Conclave, impossible de savoir ce qui se déroule vraiment entre les murs de la résidence Sainte-Marthe où sont logés les cardinaux électeurs. À moins que les langues ne se délient, bien entendu.
Il semble que ce soit ce qui est arrivé dans les colonnes du média italien Corriere della Sera, cité par Capital, lorsqu’un archevêque émérite italien prénommé Anselmo Guido Pecorari a décidé de se confier sur un aspect peu connu de la célèbre élection : son coût. Car si on ne sait pas véritablement combien coûte un conclave, (...)
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