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"C’est à la pharmacie que j’ai appris que j’étais décédée" : victime d’une erreur de l’administration, elle doit prouver qu’elle est en vie

"C’est à la pharmacie que j’ai appris que j’étais décédée" : victime d’une erreur de l’administration, elle doit prouver qu’elle est en vie
Publié le , mis à jour le

Dans les colonnes de Sud Ouest, mardi 25 mars 2025, Colette Cousin, âgée de 75 ans, a raconté le calvaire qu'elle vit à cause d'une erreur administrative. Rayée des listes de son organisme de retraite et de la sécurité sociale, elle est tout simplement considérée comme décédée.

Une nouvelle choquante. En se rendant à la pharmacie, Colette Cousin, résidente d’Arthez-de-Béarn de 75 ans, a appris qu'elle était morte. "C’est incidemment, à la pharmacie, que j’ai appris que j’étais décédée", a-t-elle ainsi déclaré, encore choquée, dans les colonnes de Sud-Ouest, mardi 25 mars 2025. C'est la conséquence d'une erreur administrative qui a entraîné sa suppression des listes de son organisme de retraite, de la CPAM et d’autres organismes. Ainsi, depuis trois mois, elle est privée de ses revenus. Une situation qui commence à devenir intenable. "Mon mari est décédé en novembre. Ça a été très dur. Et je commençais à peine à me remettre quand ça m’est tombé dessus", a-t-elle encore raconté. Depuis qu'elle a appris qu'elle n'était plus inscrite sur ces listes, elle met tout en œuvre pour récupérer son argent alors qu'elle doit avancer ses nombreux frais médicaux. "Je suis diabétique : je prends des (...)

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