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Affaire Sabine Dumont : pourquoi la généalogie génétique pourrait résoudre ce « cold case » 38 ans après

Affaire Sabine Dumont : pourquoi la généalogie génétique pourrait résoudre ce « cold case » 38 ans après
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Trente-huit ans après le viol et le meurtre non élucidé de la petite Sabine Dumont, 9 ans, la justice relance l'enquête en s’appuyant sur une méthode encore inédite en France : la généalogie génétique. Largement utilisée succès aux États-Unis, cette technique pourrait permettre de remonter jusqu’au suspect à partir de son arbre généalogique. Un nouvel espoir pour la famille, toujours en quête de vérité.

Les progrès scientifiques permettent de résoudre certaines affaires criminelles. Ce lundi 30 juin, la famille de Sabine Dumont, dont le viol et le meurtre en 1987 demeurent non élucidés, a annoncé lors d’une conférence de presse que la généalogie génétique serait désormais utilisée dans l’enquête. La méthode a démontré son efficacité aux États-Unis, mais elle n’est cependant pas encore encadrée par la loi en France.

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Après de nombreuses années d’incertitude pour la famille de la victime, les proches de la petite fille sont toujours dans l’attente de réponses. Trente-huit ans après les faits, le pôle « cold case » de Nanterre a repris le dossier en main. « Les derniers blocages ont été levés il y a dix jours », a précisé Me Seban, un des avocats de la famille. Une source proche du dossier a également confirmé à BFMTV que cette demande était sur le point d’aboutir.

Les traces d'ADN prélevées sur le...

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