Affaire Jean Imbert : le grand silence des marques après nos révélations

Une semaine après notre enquête sur Jean Imbert, accusé de violences conjugales, le chef cuisinier n’est pas encore inquiété dans l’exercice de son métier. Mais selon une indiscrétion du média en ligne Bouillantes, d’autres témoignages pourraient suivre.
Jean Imbert est dans l’œil du cyclone : malgré la tempête déclenchée la semaine dernière par notre enquête sur le chef étoilé accusé de violences conjugales, son avenir professionnel est encore en suspens. Et aucun de ses nombreux employeurs n’a encore réagi.
Une exception toutefois : le 22 avril dernier, à la veille de la publication de notre enquête, le « By Jean Imbert » a disparu du nom du restaurant Monsieur Dior à Paris. Mais rien n’indique que cette décision soit en lien avec la publication, dans nos colonnes, des témoignages de quatre ex-compagnes du chef l’accusant de violences psychologiques et parfois même physiques.
Le « no comment » du Plaza Athénée
Jean Imbert continue donc de collaborer avec une dizaine d’employeurs, dont son vaisseau amiral : le restaurant du Plaza Athénée, à Paris, une étoile au guide Michelin. Il a depuis multiplié les collaborations, du restaurant du train de l’Orient-Express à celui du Logis Sainte-Catherine au Mont-Saint-Michel.
Plus récemment, il a ouvert une nouvelle adresse dans un hôtel du parc Disneyland Paris et, surtout, il va s’installer dans les cuisines de la célèbre « Palme d’or », à l’Hôtel Martinez de...