Affaire Grégory : ce que les dernières expertises scientifiques nous ont permis d'apprendre

Les nouvelles expertises techniques et scientifiques n’apportent toujours pas de réponses concrètes sur la mort de Grégory Villemin, survenue il y a plus de quarante ans, a annoncé le procureur général Philippe Astruc.
Quarante ans après la mort du petit Grégory, le mystère reste entier. Les expertises complémentaires ordonnées l’an dernier pour tenter d’élucider les circonstances de sa mort n’ont pas donné « d’éléments significatifs », a déclaré mercredi 26 mars le parquet général à Dijon, où l’enquête est encore en cours. « Les éléments techniques et scientifiques et les procès-verbaux réalisés depuis la date anniversaire des faits en octobre 2024 n’ont pas apporté d’éléments significatifs dans la manifestation de la vérité », a affirmé à l’Agence France Presse (AFP) le procureur général à Dijon, Philippe Astruc.
« Je n’envisage dès lors pas d’en assurer une communication plus détaillée. Cependant, les investigations se poursuivent sous l’autorité du président de la chambre de l’instruction de Dijon », a-t-il ajouté, confirmant une information de Franceinfo. Les parents « restent confiants dans la justice, et leurs avocats restent déterminés », a commenté François Saint-Pierre, un des avocats des époux Villemin interrogé par l’AFP.
En mars 2024, à la suite de la demande des parents du petit Grégory, Christine et Jean-Marie Villemin, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de...