Pourquoi certaines personnes ne peuvent-elles pas s’empêcher de se gratter après une piqure de moustique ? Et d'autres non ?

D’après une étude publiée dans la revue Nature le 4 septembre dernier, la raison pour laquelle les piqûres de moustiques provoquent plus de démangeaisons chez certaines personnes que d'autres pourrait être liée à un type de cellule immunitaire spécifique.
En matière de moustiques, nous ne sommes certainement pas égaux. Alors que certaines personnes les attirent plus que d’autres, nous ne réagissons pas non plus de la même manière face à une piqure de moustique. Si certaines personnes ne ressentent quasiment aucune démangeaison après s'être fait piquer, d’autre ne pourront pas s’empêcher de se gratter.
"Nous avons tous cet ami qui ne réagit pas aux piqûres de moustiques et cet ami qui a l'air horrible après une journée dehors" confirme dans les colonnes de Live Science la Dre Caroline Sokol, professeure d’allergie et d’immunologie à la Harvard Medical School et au Massachusetts General Hospital et auteure principale d’une étude sur le sujet, parue le 4 septembre dernier dans la revue Nature.
Un type spécifique de lymphocytes T en causeFace à un allergène — comme la salive d’un moustique —, les neurones sensoriels dont la peau est densément peuplée le détectent et peuvent déclencher une (...)
À lire aussi sur Geo: