logo Geo

Les sous-marins britanniques sont à bout de souffle, quand ils ne sont pas tout bonnement cloués à terre

Les sous-marins britanniques sont à bout de souffle, quand ils ne sont pas tout bonnement cloués à terre
Publié le

Les alarmes se multiplient quant à l'état des bâtiments de la pourtant prestigieuse Royal Navy. La durée des patrouilles des sous-marins, considérablement allongée, jette une lumière crue sur l'état des engins au service de Sa Majesté.

Blimey ! Scandales et avarices continuent d'affaiblir la flotte de sa Majesté. La Royal Navy, marine britannique qui dispose, rappelons-le, de la plus grande flotte européenne de sous-marins SSN (propulsion nucléaire), n'en finit pas de décevoir. Il est loin le temps où la Grande-Bretagne régnait en maître sur les quatre océans.

Il ne faut pas remonter loin dans le temps pour trouver le dernier esclandre en date : en août dernier, rapportions-nous, le Telegraph a révélé qu'une partie des logiciels utilisés par les sous-mariniers britanniques aurait été discrètement sous-traitée à des développeurs situés en Biélorussie, proche allié de la Russie de Vladimir Poutine, voire développée sur le sol russe.

Une faille majeure de sécurité, dans un contexte de tensions entre Occident et Russie exacerbées par la guerre en Ukraine. Porte-avion HMS Queen Elizabeth cloué au quai en janvier faute de personnel et face à un problème de propulsion, porte-avion HMS Prince (...)

Publicité

À lire aussi sur Geo:

Accessibilité : partiellement conforme