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Les adolescents de l’Antiquité étaient déjà en proie à des questionnements existentiels

Les adolescents de l’Antiquité étaient déjà en proie à des questionnements existentiels
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Dans un article paru le 6 septembre sur phys.org, Konstantine Panegyres, chercheur spécialiste de l’Antiquité gréco-romaine à l’Université de Melbourne en Australie, revient sur les questionnements qui ont hanté ceux qui deviendront les plus grands penseurs de leur époque.

L’adolescence était-elle plus facile à vivre durant l’Antiquité ? Rien n’est moins sûr, selon Konstantine Panegyres. Dans un article publié sur phys.org le 6 septembre dernier, le chercheur spécialiste de l’Antiquité gréco-romaine à l’Université de Melbourne en Australie revient sur la façon dont certains des plus grands penseurs de l’Antiquité, ont, durant leur adolescence, eux aussi été en en proie à certaines crises existentielles.

Platon, incertain quant à leur avenir

Quel métier ai-je envie de faire ? Dois-je aller l’université ou ai-je envie de voyager ? Que faire de ma vie ? Autant de questions qui se bousculent généralement au moment de l’adolescence. Mais ces questionnements n’ont rien de nouveau : selon Konstantine Panegyres, la lutte pour résoudre ces problèmes remonte même à plusieurs millénaires… et concerne tout le monde, y compris des penseurs comme Platon (vers 428-347 av. J.-C.) :

Les histoires anciennes (...)
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