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L'eau est turquoise, le sable est blanc... Alors pourquoi l'île des Pins meurt à petit feu?

L'eau est turquoise, le sable est blanc... Alors pourquoi l'île des Pins meurt à petit feu?
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Sous le ciel limpide du Pacifique, l’île des Pins aligne ses plages paradisiaques et ses forêts de pins colonnaires. Mais derrière l’image de carte postale, la crise du tourisme qui frappe la Nouvelle-Calédonie met en péril l’économie locale.

L’île des Pins, perle de la Nouvelle-Calédonie, offre un décor de carte postale fait de lagons turquoise, plages de sable blanc et forêts de pins colonnaires à l'appui. Incontournable, la piscine naturelle de la baie d’Oro émerveille les visiteurs par sa clarté et sa faune marine. À quelques pas, les plages de Kuto et Kanuméra invitent au farniente, tandis qu’une sortie en pirogue traditionnelle sur la baie d’Upi plonge dans la quiétude ancestrale des lieux. L’ascension du pic N’Ga, enfin, offre aux marcheurs un panorama grandiose.

Mais derrière cette façade paradisiaque, la réalité économique s’assombrit. La destination, naguère prisée des croisiéristes et des amateurs de nature, affronte une crise sans précédent.

Une année noire pour le tourisme

Après une année marquée par les troubles sociaux en Nouvelle-Calédonie, le tourisme, pilier de l’économie locale, s’est effondré, observe aujourd'hui Le Singulier. À l’île des Pins, le choc est brutal. Le (...)

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