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Accro à ChatGPT? Voici pourquoi certaines questions polluent beaucoup plus que d'autres

Accro à ChatGPT? Voici pourquoi certaines questions polluent beaucoup plus que d'autres
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Demander tout et n'importe quoi à ChatGPT n'est pas anodin : chaque requête saisie dans un "modèle de langage étendu" nécessite en effet plus ou moins d'énergie et produit plus ou moins d'émissions de CO2. Une étude compare différents paramètres pour nous aider à raisonner nos usages.

Donner des conseils pour se rafraîchir lors d'une canicule, concocter une recette de dîner à partir de ce qui se trouve dans le frigo, élaborer un programme d'entraînement sportif… Quelles que soient les consignes (ou "prompts") données à un "modèle de langage étendu" tel que ChatGPT, celui-ci trouvera immanquablement une réponse. Mais à quel prix pour la planète ?

Pour produire cette information, que la réponse soit correcte ou non, le modèle utilise des "tokens" (un mot anglais signifiant 'jetons'). Chaque token est un mot converti en une série de nombres pouvant être traitée par l'intelligence artificielle (IA).

Or, cette conversion génère des émissions de gaz à effet de serre – une empreinte carbone dont la plupart des utilisateurs ignorent pourtant l'existence. Les auteurs d'une étude publiée le 19 juin dans la revue Frontiers in Communication ont donc mesuré et comparé les émissions de dioxyde de carbone (...)

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