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Marseille : ramasser des déchets avec une association environnementale permet de gagner une monnaie alternative dans les commerces

Marseille : ramasser des déchets avec une association environnementale permet de gagner une monnaie alternative dans les commerces
Publié le 30 juin 2024 à 17:00, mis à jour le 30 juin 2024 à 15:01

Gagner de l'argent en ramassant des déchets, voici ce que propose la ville de Marseille.

Une initiative qui permet de transformer le ramassage des déchets en une monnaie alternative

Grâce à une monnaie alternative faite de plastique recyclé, les marseillais peuvent par le biais d’une bonne action gagner un peu de pouvoir d’achat en ramassant des déchets.

Les ‘brigades vertes’ se mobilisent pour rendre la ville plus propre en association avec les habitants

Composées de bénévoles, les ‘brigades vertes’ de Marseille se mobilisent pour rendre la ville plus propre en association avec les habitants. Objectif : ramasser des déchets et obtenir immédiatement une récompense par des pièces de monnaie sauvage (des jetons*) qui peuvent se dépenser dans un commerce responsable et favoriser l’économie locale marseillaise.

Une belle initiative qui rencontre un franc succès

Ensuite, chaque achat ou chaque échange de cette monnaie déclenche un don de 5 euros, sorti de la poche de ‘Sauvage Méditerranée’. Une belle initiative qui rencontre un franc succès et qui permet de sensibiliser à la dépollution.

On apprécie le travail de ces associations, c’est une manière de les soutenir (le patron d’une brasserie artisanale)

Un des fondateurs de Sauvage ajoute dans La Provence : “Nous transmettons les bons gestes et nous, on récupère des déchets qu’on pourra ensuite transforme“. Pour sa part, le créateur de la brasserie artisanale et bio ‘Zoumaï’, Jérôme Talin, ajoute dans Le Parisien : “Nous offrons une bière pour chaque pièce. On apprécie le travail de ces associations, c’est une manière de les soutenir“.

* Les pièces de monnaie / jetons sont fabriquées à partir de bouchons en plastique récupérés sur les plages et traités dans un atelier à Aix-en-Provence.

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