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Retraites, CAF, impôts... Faites-vous partie des plus grands perdants d'une « année blanche 2026 » ?

Retraites, CAF, impôts... Faites-vous partie des plus grands perdants d'une « année blanche 2026 » ?
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En 2018, la France a connu une « année blanche » fiscale. Il s'agissait alors d'une année de transition sans impôt sur le revenu avec le basculement vers le prélèvement à la source. L'idée d'une « année blanche » en 2026 est totalement différente : il s'agit cette fois de geler toutes les revalorisations habituelles pour faire des économies budgétaires. À la clé, de multiples perdants. Mais qui a le plus à y perdre ?

« Je pense qu'il y aura une pause sur certaines dépenses », a déclaré la ministre chargée des Comptes publics Amélie de Montchalin ce mercredi 2 juillet sur Sud Radio. « Est-ce une bonne idée ? Cela dépend sur quoi on l'applique (...) il y a plein de manières de le faire (...) Est-ce que c'est sur les prestations sociales ? Est-ce que c'est sur les barèmes des impôts ? Est-ce que c'est sur les dotations aux collectivités ? Est-ce que c'est sur les versements et les aides aux entreprises ? Cette année de pause, elle doit être plus ou moins grande. »

Par définition, cette piste d'économies est loin d'être actée. Elle débarque dans le débat public au moment où démarrent, au ministère de l'Économie et des Finances, les rencontres avec les groupes parlementaires sur la préparation du budget 2026. Avec une mission : la quête de 40 milliards d'euros d'économies budgétaires, au global.

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