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Les différences marquantes entre le nouveau T-Rex de Jurassic World Rebirth et celui de Jurassic Park

Les différences marquantes entre le nouveau T-Rex de Jurassic World Rebirth et celui de Jurassic Park
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Le dernier opus de la saga Jurassic World introduit un nouveau T-Rex, distinct de celui qui a marqué les débuts de Jurassic Park. Ce dinosaure emblématique présente des différences notables dans son apparence et son comportement à l’écran.

Tl;dr

  • Un nouveau T. rex, plus imposant, débarque dans Rebirth.
  • Le film rend hommage à l’héritage visuel de Ray Harryhausen.
  • Sortie en salles prévue le 2 juillet avec un nouveau casting.

Un renouveau musclé pour la saga Jurassic World

En quittant les vestiges d’Isla Nublar, la saga Jurassic World s’apprête à écrire un nouveau chapitre audacieux avec Jurassic World Rebirth. Après le crépuscule marqué par la retraite de « Rexy », la star des trois dernières décennies, l’heure est venue d’accueillir un tout autre prédateur. Le prochain opus promet non seulement une nouvelle équipe sous la houlette du réalisateur Gareth Edwards, mais également une distribution renouvelée où brillent Scarlett Johansson, Jonathan Bailey et Mahershala Ali. Ce retour fracassant à l’écran est fixé au 2 juillet.

L’influence d’Hollywood sur le T. rex nouvelle génération

Chose intrigante : ce n’est pas le T. rex original qui s’imposera cette fois, mais une version totalement revisitée, que l’équipe qualifie de « plus massive, robuste et intimidante ». Loin du souci d’exactitude scientifique qui avait façonné « Rexy », ce dinosaure s’inspire désormais des classiques du cinéma fantastique. Dans une déclaration pleine de nostalgie, Gareth Edwards évoque son désir de renouer avec les silhouettes reptiliennes imaginées par Ray Harryhausen, pionnier des effets spéciaux stop-motion dans les années 1960.

L’un des moteurs créatifs a justement été cette volonté assumée : « Nous avons puisé dans les films comme The Valley of Gwangi, pour retrouver la vision que nous avions enfants d’un T. rex », glisse Edwards. Un clin d’œil direct au « Bull T. rex » apparu dans la gamme de jouets Kenner en 1997 ou encore aux œuvres marquantes comme The Seventh Voyage of Sinbad. De fait, ce nouvel animal promet une esthétique radicalement différente.

Nouveaux dinosaures et séquences inédites inspirées du roman original

Ce volet baptisé Rebirth ne se contente pas d’un unique monstre emblématique : il mettra aussi en scène des créatures hybrides telles que les Mutadons ou Distortus rex, fruits d’expériences génétiques déviantes, mais également des espèces connues comme le Dilophosaurus ou le Spinosaurus. Plus curieusement, certains passages supprimés du premier film font enfin surface, notamment une scène-clé où un T. rex attaque une famille lors d’une descente en rafting — moment longtemps souhaité par le scénariste historique David Koepp. Celui-ci confiait récemment : « Quand j’ai relu le roman de Michael Crichton, je me suis dit : oui, cette scène doit enfin voir le jour ! »

Voici donc les grandes nouveautés à guetter lors de la sortie :

  • Nouveau bestiaire : dinosaures classiques et mutations inédits se côtoient.
  • Mise en scène : effets spéciaux inspirés par l’âge d’or hollywoodien.
  • Casting étoilé : présence remarquée de Johansson et Ali.

Bientôt sur grand écran

Avec ces choix créatifs affirmés et cet hommage appuyé à l’imaginaire collectif du dinosaure-roi, Universal Pictures entend bien séduire autant les nostalgiques que les nouveaux venus. Rendez-vous est pris en salles dès le début de l’été pour découvrir si cette renaissance tiendra toutes ses promesses…

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