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Jurassic World Rebirth : le lien avec Star Wars officiellement confirmé, les fans avaient vu juste

Jurassic World Rebirth : le lien avec Star Wars officiellement confirmé, les fans avaient vu juste
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Le prochain film Jurassic World Rebirth vient de révéler un lien avec l’univers Star Wars, confirmant ainsi une théorie déjà évoquée par certains fans. Cette connexion inattendue suscite curiosité et enthousiasme au sein des deux communautés cinématographiques.

Tl;dr

  • Le D. Rex est inspiré du Rancor de Star Wars.
  • Des références à Alien et Elephant Man sont intégrées.
  • Le D. Rex suscite autant l’empathie que la peur.

Un monstre inédit, entre science et références pop

Dans l’univers foisonnant de Jurassic World Rebirth, la franchise ose s’aventurer vers des territoires plus sombres et inattendus. Sur l’île isolée de Saint-Hubert, là où InGen poursuit en secret ses expérimentations génétiques, un nouveau prédateur voit le jour : le redoutable D. Rex (Distortus Rex). Imaginé comme une chimère déformée, ce dinosaure n’est pas qu’un énième rival du célèbre T. Rex ou de l’Indominus Rex ; il incarne aussi un clin d’œil assumé à la culture geek.

Les coulisses d’une créature hybride

Ce qui frappe, c’est la parenté troublante entre le D. Rex et une figure bien connue d’une galaxie lointaine : le fameux Rancor de Star Wars. La ressemblance n’a rien d’un hasard : lors d’un entretien accordé à Collider, le réalisateur Gareth Edwards a admis s’être largement inspiré de cette créature culte. « C’est difficile d’inventer un monstre original… On a mis un peu du Rancor de Star Wars, mais il ne faut pas le dire aux gens qui bossent sur Star Wars. » avoue-t-il dans un sourire complice.

D’ailleurs, l’expérience d’Edwards avec la saga galactique ne date pas d’hier. Après avoir signé la réalisation de Rogue One: A Star Wars Story, puis fait une apparition dans The Last Jedi, il était presque inévitable que son univers marque son travail sur Jurassic World.

L’héritage des monstres tragiques du cinéma

Mais les inspirations vont plus loin encore. Edwards révèle avoir pioché dans l’imaginaire de H.R. Giger, créateur d’Alien, et s’être inspiré du « monstre triste » popularisé par David Lynch dans The Elephant Man. Le réalisateur confie avoir demandé à ses animateurs de retranscrire cette dimension pathétique : « L’idée que cette créature souffre, qu’elle n’a jamais voulu exister ainsi… On doit ressentir un peu de compassion pour elle. »

En résulte un antagoniste complexe, bien loin des simples bêtes féroces habituelles.

D. Rex : monstre ou victime ?

À l’écran, le D. Rex s’impose par sa présence terrifiante mais fugace – à la manière du Rancor dans «Le Retour du Jedi ». Cependant, derrière sa carrure inquiétante, il émerge comme une créature en quête de paix plus que de carnage pur, ce qui surprend au vu des bandes-annonces aguichantes.

Pour les spectateurs déjà familiers de ces univers cinématographiques entremêlés, difficile désormais d’oublier ces influences croisées qui enrichissent cet épisode ambitieux actuellement en salles.

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