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Avant d’intégrer le MCU, Lewis Pullman a incarné l’amoureux d’une grande vedette Marvel

Avant d’intégrer le MCU, Lewis Pullman a incarné l’amoureux d’une grande vedette Marvel
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Avec Brie Larson dans une série Apple, Lewis Pullman prouve qu’il peut autant toucher que cogner.

Tl;dr

  • Lewis Pullman et Brie Larson forment un duo inattendu mais marquant dans Lessons in Chemistry, série située dans les années 1950.
  • Leur relation atypique, sans test d’alchimie préalable, séduit par sa sincérité et sa profondeur émotionnelle.
  • La série est saluée pour sa finesse d’écriture, son jeu d’acteurs et son regard critique sur les normes sociales de l’époque.

Un duo inédit sous le microscope

À la croisée de plusieurs univers cinématographiques, Lewis Pullman, vu récemment dans Top Gun: Maverick et désormais dans Thunderbolts*, a surpris en incarnant l’amant de Brie Larson dans la série Apple TV+, Lessons in Chemistry. Adaptation du roman à succès de Bonnie Garmus, cette mini-série plonge le spectateur dans les années 1950 en Californie, là où la science se heurte encore aux préjugés de genre.

Dans ce récit, Pullman campe un certain Calvin Evans, brillant chercheur au Hastings Research Institute. Il y rencontre Elizabeth Zott (Larson), technicienne de laboratoire à l’intelligence exceptionnelle mais cantonnée aux marges du progrès scientifique en raison de son sexe. Leur rencontre — improbable mais magnétique — donne naissance à une relation aussi authentique qu’atypique, que Pullman qualifie lui-même de « très fraîche ».

L’alchimie sans test… mais avec justesse

Étonnamment, les deux comédiens n’ont pas passé de test de « chemistry read » avant le tournage. Un détail cocasse pour une série traitant justement d’alchimie humaine ! Dans un entretien accordé à Cosmopolitan, Pullman s’est amusé de cette ironie et a souligné combien le duo avait préféré explorer diverses pistes sans crainte de l’échec : il s’agissait d’atteindre cette rare connexion entre deux êtres aussi singuliers que Calvin et Elizabeth.

Loin des standards romantiques classiques, leur histoire s’impose comme celle de deux marginaux soudainement réunis par le hasard, voire la nécessité. « C’est toujours fascinant d’incarner des personnages mal à l’aise avec les codes amoureux », confiait Pullman, insistant sur l’aspect quasi extraterrestre de leurs échanges.

Sous l’œil exigeant des critiques

Du côté des observateurs, l’accueil a été globalement enthousiaste. La série décroche un solide 86% sur Rotten Tomatoes. Les critiques n’ont pas tari d’éloges sur plusieurs aspects :

  • L’interprétation sensible du duo principal
  • L’écriture subtile et nuancée du showrunner Lee Eisenberg
  • L’équilibre entre humour, émotion et réflexion sociétale

Pour beaucoup, la force du programme réside précisément dans cette alchimie rare — relevée notamment par Time Magazine : « La série laisse réellement ses acteurs principaux développer une alchimie ». D’autres saluent l’audace d’avoir transcendé le matériau littéraire initial, rendant la série « plus riche et plus profonde. »

Une carrière qui accélère pour Lewis Pullman

En définitive, bien que présent seulement dans deux épisodes en tant que vivant (avant de réapparaître en flash-back), Pullman a su marquer durablement la mini-série — jusqu’à obtenir une nomination aux Emmy Awards. Avec Thunderbolts* désormais à l’affiche et Lessons in Chemistry disponible dans son intégralité sur Apple TV+, l’acteur confirme sa montée en puissance auprès du public… tout comme auprès des critiques les plus exigeants.

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