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Romain Ntamack, la grosse alerte

Romain Ntamack, la grosse alerte
Publié le 02 mai 2024 à 14:49, mis à jour le 02 mai 2024 à 13:07
Avant la demi-finale de Champions Cup entre le Stade Toulousain et les Harlequins, Romain Ntamack rappelle qu'il faut faire très attention à cette équipe anglaise, et notamment à son potentiel offensif.
En voilà une affiche alléchante. Impressionnant depuis le début de cette campagne européenne, le Stade Toulousain affronte les Harlequins, dimanche, en demi-finale de la Champions Cup. Les hommes d'Ugo Mola partiront favoris, mais ils savent pertinemment qu'il ne faut pas sous-estimer cette formation anglaise.

"C’est une équipe qui marque beaucoup d’essais, qui produit un jeu hyper attractif, qui joue de partout, explique ainsi Romain Ntamack auprès de Rugbyrama. Il ne faudra pas trop la regarder, sinon on prendra trente, quarante ou cinquante points, comme ils sont capables de le faire tous les week-ends ou presque. C’est vraiment une belle équipe. Même si on a gagné chez elle en match de poule, ce sera un tout autre contexte dimanche qu’on veut bien aborder."

Smith, un danger à cadenasser


Toulouse avait en effet décroché un succès probant au Twickenham Stoop (19-47) en décembre dernier. Mais les Harlequins ont réalisé quelques cartons depuis, contre Cardiff (54-15) et l'Ulster (47-19), et bien sûr en quarts de finale sur le terrain de l'Union Bordeaux-Bègles, dans un match dingue (41-42). Au passage, les "Entertainers" restent sur 41-32 contre Northampton, le leader du championnat anglais, le week-end dernier.

Dans ce match, Ntamack devrait avoir face à lui un certain Marcus Smith, un n°10 qu'il connaît depuis longtemps, puisque les deux hommes étaient opposés en 2018 lors de la finale de la Coupe du monde U20. "Marcus Smith est un joueur exceptionnel, qui fait tellement de bien à cette équipe et à l’Angleterre, juge l'international français. Il ne possède pas un profil typique pour les Anglais car c’est un gros attaquant, qui prend beaucoup d’initiatives. C’est un danger permanent, qu’on devra essayer de cadenasser."
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