Première décevante pour les Bleues
Publié le , mis à jour le
Lors du premier match de son histoire en Nations League, l'équipe de France féminine de volley a reçu une correction de la part de l'Allemagne (3-0).
L'équipe de France féminine de volley est toujours en chantier à deux mois des Jeux Olympiques de Paris 2024. En phase d'apprentissage même. Au bénéfice de son succès l'année dernière en Challenger Cup, elle s'est hissée pour la première fois de son histoire en Nations League, le gratin du volley féminin réunissant les seize meilleures nations du globe. À l'occasion de leur entrée en lice face à l'Allemagne, les Bleues ont présenté un visage "new-look" avec notamment Iman Ndiaye ou encore Maeva Schalk qui ont célébré leur première sélection alors que la capitaine Héléna Cazaute ne participe pas à la première phase de cette compétition.
Apparues en grande difficulté, les Françaises ont multiplié entre autres les constructions offensives maladroites. Ou encore les réceptions de service aléatoires. Néanmoins elles ont montré des choses intéressantes. Sèchement battues dans le second set (25-14) après un premier set quelque peu accroché, les joueuses d'Emile Rousseaux ont toutefois craqué dans le troisième acte qu'elles ont semblé maîtrisé. Menant au score 20-16 puis 22-19, elles ont essuyé un 6-0 fatal, octroyant aux Allemandes une victoire nette et sans bavure (3-0).
"C’est la première fois qu’on joue cette compétition, donc il y avait beaucoup de stress. Nous n’avons pas réussi à mettre en place les choses que nous faisons parfois très bien, mais on va rester positif pour le reste de la compétition. Chaque match est une opportunité d’apprendre, comme le coach a l’habitude de nous le dire, je pense qu’on va devenir de plus en plus fortes au fur et à mesure de la compétition", a réagi après la rencontre Léandra Olinga Andela. Ce vendredi, toujours à Antalya dans le sud de la Turquie, les Bleues affronteront la Pologne (coup d'envoi à 16h).
L'équipe de France féminine de volley est toujours en chantier à deux mois des Jeux Olympiques de Paris 2024. En phase d'apprentissage même. Au bénéfice de son succès l'année dernière en Challenger Cup, elle s'est hissée pour la première fois de son histoire en Nations League, le gratin du volley féminin réunissant les seize meilleures nations du globe. À l'occasion de leur entrée en lice face à l'Allemagne, les Bleues ont présenté un visage "new-look" avec notamment Iman Ndiaye ou encore Maeva Schalk qui ont célébré leur première sélection alors que la capitaine Héléna Cazaute ne participe pas à la première phase de cette compétition.
Apparues en grande difficulté, les Françaises ont multiplié entre autres les constructions offensives maladroites. Ou encore les réceptions de service aléatoires. Néanmoins elles ont montré des choses intéressantes. Sèchement battues dans le second set (25-14) après un premier set quelque peu accroché, les joueuses d'Emile Rousseaux ont toutefois craqué dans le troisième acte qu'elles ont semblé maîtrisé. Menant au score 20-16 puis 22-19, elles ont essuyé un 6-0 fatal, octroyant aux Allemandes une victoire nette et sans bavure (3-0).
"C’est la première fois qu’on joue cette compétition, donc il y avait beaucoup de stress. Nous n’avons pas réussi à mettre en place les choses que nous faisons parfois très bien, mais on va rester positif pour le reste de la compétition. Chaque match est une opportunité d’apprendre, comme le coach a l’habitude de nous le dire, je pense qu’on va devenir de plus en plus fortes au fur et à mesure de la compétition", a réagi après la rencontre Léandra Olinga Andela. Ce vendredi, toujours à Antalya dans le sud de la Turquie, les Bleues affronteront la Pologne (coup d'envoi à 16h).
Publicité
Partager
