Samedi, après deux olympiades, Marie-Christine Peltre va quitter son siège de présidente de la Ligue de Bretagne de tennis.
Entretien.
Marie-Christine Peltre, à l’issue de ces deux mandats, quelles sont vos satisfactions principales ?
J’avais un programme. Il a été entièrement réalisé, même si certains l’ont peut-être oublié. La Ligue a été un facilitateur dans le cadre du parcours international pour le haut niveau. Clara Burel et Eleejah Inisan en ont, entre autres, bénéficié. Notre rôle est de garantir et de protéger l’intégrité des jeunes, des enseignants, des bénévoles. On a mis en place une charte d’éthique. On a développé le tennis féminin. Il n’y a pas que la compétition. On est parvenu à ajuster les offres aux demandes de la pratique. Il faut être sur le terrain pour connaître les besoins. J’ai dû faire 850 visites de clubs. Des projets importants sont sortis de terre à Guipavas, La Flume, Concarneau, Quimperlé… On a rééquilibré les finances de la Ligue. On a créé un centre de formation des enseignements professionnels à Pontivy, où nous avons édifié six courts extérieurs en terre battue éclairés et deux courts de paddle. La digitalisation des relations des clubs et des lic…