Les participants à l’Open d’Australie sont attendus vendredi dans le pays continent, mais pour pouvoir taper les balles dans la bulle, il faudra éviter les boulettes. Un véritable défi, selon le directeur du tournoi qui estime qu’il faudra « un petit miracle » pour que tout se déroule sans accroc.
Épargné en 2020 par la pandémie de coronavirus qui s’était déclarée quelques semaines après la finale, le tournoi majeur australien est à son tour frappé par les difficultés liées au Covid-19. Face à la virulence de l’épidémie, les autorités de l’État de Victoria ont même longtemps laissé penser qu’elles interdiraient le tournoi qui attire des milliers de personnes venant du monde entier dans une ville, Melbourne, qui est sortie en octobre d’un confinement de quatre mois.
Finalement, la Fédération australienne (Tennis Australia, TA) a réussi à caser l’épreuve en la repoussant de trois semaines, au 8 février. Et en proposant aux joueurs une série d’épreuves préparatoires, toutes à Melbourne, la semaine précédant le premier tournoi du Grand Chelem de l’année.
Pour rendre l’événement acceptable par les autorités locales, la Fédération australienne a édicté des règles sanitaires très strictes…