Romain Ntamack, gros souci confirmé

Publié le
Réopéré du genou en juin dernier, Romain Ntamack est revenu sur sa saison dernière galère sur le plan personnel.
Romain Ntamack n’est plus même. Enfin débarrassé de ses pépins physiques, le demi d’ouverture de 26 ans enchaîne les prestations de haut vol avec le Stade Toulousain. Un retour en forme que l’international tricolore savoure après avoir vécu une saison dernière compliquée en raison de soucis physiques.
Victime de douleurs récurrentes à son genou gauche après avoir subi une rupture ligament croisé antérieur en marge du Mondial 2023, Romain Ntamack a été contraint de repasser sur le billard. Deux jours après le sacre des Toulousains en Top 14 fin juin dernier, le fils d’Emile était effectivement de passage à l’hôpital pour se faire « nettoyer » le genou.
Pour le Midi Olympique, Romain Ntamack est revenu sur cette saison 2024-2025 difficile. « Pourquoi je me suis autant accroché la saison dernière malgré les douleurs ? Déjà, je n’avais pas envie de rater encore des semaines ou des mois de compétition après avoir eu une rupture des ligaments croisés (en août 2023), puis un mollet dans la boîte à gants (en octobre 2024), a-t-il rappelé. Je ne voulais pas, une nouvelle fois, louper une bonne partie de la saison. Je souhaitais m’accrocher et continuer. Mais je l’ai fait en sachant que je n’allais jamais vraiment être à 100 %. J’ai essayé de donner à l’équipe le maximum de ce que je pouvais faire. Et j’ai eu la chance que ça se termine bien avec ce Bouclier à la fin. »
Et le numéro 10 stadiste d’évoquer également l’impact de cette blessure sur sa vie hors des terrains: « Au-delà de l’aspect sportif et de mon métier de rugbyman, c’était aussi dans ma vie de tous les jours que ça avait des conséquences. Je me levais le matin et j’avais le genou gonflé. Je ne pouvais même pas jouer avec mon fils en étant accroupi. Parce que je ne pouvais pas plier le genou ou me mettre à genoux. Ce fut vraiment une souffrance toute l’année. »
Désormais à 100% de ses moyens physiques, le Toulousain ne boude pas son plaisir. « Ce qui est sûr, c’est que je ne me pose plus les questions que je me posais l’année dernière, a-t-il confié. Et ça, c’est déjà un gros poids en moins sur mes épaules. Ça ne me trotte plus dans la tête, comme c’était le cas toute la saison passée. » Une excellente nouvelle pour le Stade Toulousains et le XV de France.
Romain Ntamack n’est plus même. Enfin débarrassé de ses pépins physiques, le demi d’ouverture de 26 ans enchaîne les prestations de haut vol avec le Stade Toulousain. Un retour en forme que l’international tricolore savoure après avoir vécu une saison dernière compliquée en raison de soucis physiques.
Victime de douleurs récurrentes à son genou gauche après avoir subi une rupture ligament croisé antérieur en marge du Mondial 2023, Romain Ntamack a été contraint de repasser sur le billard. Deux jours après le sacre des Toulousains en Top 14 fin juin dernier, le fils d’Emile était effectivement de passage à l’hôpital pour se faire « nettoyer » le genou.
Pour le Midi Olympique, Romain Ntamack est revenu sur cette saison 2024-2025 difficile. « Pourquoi je me suis autant accroché la saison dernière malgré les douleurs ? Déjà, je n’avais pas envie de rater encore des semaines ou des mois de compétition après avoir eu une rupture des ligaments croisés (en août 2023), puis un mollet dans la boîte à gants (en octobre 2024), a-t-il rappelé. Je ne voulais pas, une nouvelle fois, louper une bonne partie de la saison. Je souhaitais m’accrocher et continuer. Mais je l’ai fait en sachant que je n’allais jamais vraiment être à 100 %. J’ai essayé de donner à l’équipe le maximum de ce que je pouvais faire. Et j’ai eu la chance que ça se termine bien avec ce Bouclier à la fin. »
Ntamack: « Ce fut vraiment une souffrance toute l’année »
Et le numéro 10 stadiste d’évoquer également l’impact de cette blessure sur sa vie hors des terrains: « Au-delà de l’aspect sportif et de mon métier de rugbyman, c’était aussi dans ma vie de tous les jours que ça avait des conséquences. Je me levais le matin et j’avais le genou gonflé. Je ne pouvais même pas jouer avec mon fils en étant accroupi. Parce que je ne pouvais pas plier le genou ou me mettre à genoux. Ce fut vraiment une souffrance toute l’année. »
Désormais à 100% de ses moyens physiques, le Toulousain ne boude pas son plaisir. « Ce qui est sûr, c’est que je ne me pose plus les questions que je me posais l’année dernière, a-t-il confié. Et ça, c’est déjà un gros poids en moins sur mes épaules. Ça ne me trotte plus dans la tête, comme c’était le cas toute la saison passée. » Une excellente nouvelle pour le Stade Toulousains et le XV de France.
Publicité



