Pourquoi Gailleton n'a pas signé à Toulouse

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Courtisé par La Rochelle mais aussi et surtout Toulouse, triple champion de France, Emilien Gailleton (22 ans) a finalement fait le choix de la stabilité en prolongeant son contrat à Pau. La pépite de la Section s'en est expliqué longuement ce jeudi.
Entre Toulouse et La Rochelle, Emilien Gailleton (22 ans) a choisi... Pau. En fin de contrat en Béarn, le grand espoir de la Section faisait l'objet d'une cour assidue du Stade Toulousain notamment. La pépite paloise, pas insensible à l'intérêt des triples champions de France sortants, s'est d'ailleurs longuement interrogée ("cela faisait pas mal de temps que je réfléchissais à mon avenir") avant de décider de prolonger sous ses couleurs actuelles, pour trois ans.
Désormais lié à Pau jusqu'en juin 2029, l'ancien joueur d'Agen, arrivé dans les Pyrénées il y a trois ans, a expliqué ce jeudi à RMC Sport ce qui l'avait amené à faire le choix de la stabilité alors que tout le monde l'attendait déjà dans la Ville Rose. "J'avais envie de continuer avec ce groupe, qui est bourré de potentiel et qui est en train de grandir (...) Pouvoir rester dans un club qui me fait confiance, avec une grande stabilité d'effectif a fait pencher la balance en faveur de Pau", explique le natif de Croydon, en Angleterre, avec déjà des ambitions à revendre pour la suite.
"Le projet initié par les dirigeants il y a trois ans est en train de prendre forme, avec l'objectif d'accrocher les phases finales du Top 14, voire plus", poursuit le jeune international français (dix sélections), qui parle de "vrai soulagement pour (lui) et ses proches" après cette prolongation, sans cacher qu'il avait déjà connu des décisions plus simples à prendre. "Toulouse est un club très puissant avec des internationaux à tous les postes, mais je voulais avoir une carrière un peu singulière, d'où ce choix de rester à Pau."
Et ce en dépit des conséquences qu'il aurait pu avoir sur son... couple. Clémentine Pagès, la petite amie de Gailleton, défend en effet les couleurs de Blagnac, en banlieue toulousaine. "On a été très clair tous les deux sur le sujet, assure toutefois le Palois. C'était le rugby avant nous deux. Nous sommes encore très jeunes et nos carrières passent avant tout."
Entre Toulouse et La Rochelle, Emilien Gailleton (22 ans) a choisi... Pau. En fin de contrat en Béarn, le grand espoir de la Section faisait l'objet d'une cour assidue du Stade Toulousain notamment. La pépite paloise, pas insensible à l'intérêt des triples champions de France sortants, s'est d'ailleurs longuement interrogée ("cela faisait pas mal de temps que je réfléchissais à mon avenir") avant de décider de prolonger sous ses couleurs actuelles, pour trois ans.
Désormais lié à Pau jusqu'en juin 2029, l'ancien joueur d'Agen, arrivé dans les Pyrénées il y a trois ans, a expliqué ce jeudi à RMC Sport ce qui l'avait amené à faire le choix de la stabilité alors que tout le monde l'attendait déjà dans la Ville Rose. "J'avais envie de continuer avec ce groupe, qui est bourré de potentiel et qui est en train de grandir (...) Pouvoir rester dans un club qui me fait confiance, avec une grande stabilité d'effectif a fait pencher la balance en faveur de Pau", explique le natif de Croydon, en Angleterre, avec déjà des ambitions à revendre pour la suite.
Gailleton : "Je voulais avoir une carrière un peu singulière"
"Le projet initié par les dirigeants il y a trois ans est en train de prendre forme, avec l'objectif d'accrocher les phases finales du Top 14, voire plus", poursuit le jeune international français (dix sélections), qui parle de "vrai soulagement pour (lui) et ses proches" après cette prolongation, sans cacher qu'il avait déjà connu des décisions plus simples à prendre. "Toulouse est un club très puissant avec des internationaux à tous les postes, mais je voulais avoir une carrière un peu singulière, d'où ce choix de rester à Pau."
Et ce en dépit des conséquences qu'il aurait pu avoir sur son... couple. Clémentine Pagès, la petite amie de Gailleton, défend en effet les couleurs de Blagnac, en banlieue toulousaine. "On a été très clair tous les deux sur le sujet, assure toutefois le Palois. C'était le rugby avant nous deux. Nous sommes encore très jeunes et nos carrières passent avant tout."
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