Incroyable erreur autour de la cérémonie d'ouverture
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Le directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris a fondu en larmes lorsqu’il a appris que la cérémonie d’ouverture allait se déroulait sous la pluie.
La France a vécu une parenthèse enchantée durant la durée des Jeux Olympiques et paralympiques. Et le ton fut donné dès la cérémonie d’ouverture, le 26 juillet, puisque tous les ingrédients semblaient être réunis pour que la soirée tourne au fiasco. La journée avait été marquée par le sabotage de plusieurs lignes SNCF et la pluie était attendue pour s’abattre dans la soirée.
La perspective avait fait craindre le pire, notamment à Thomas Jolly, le directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Comme en témoigne une séquence captée par les caméras des frères Naudet pour un documentaire qui sera diffusé ce mardi soir sur France 2, le Rouennais était d’ailleurs sonné. Au point de fondre en larmes.
« Je ne réalisais pas, a-t-il raconté sur le plateau de C à vous. On avait les plan de réadaptations mais tout à coup, l'effet de réel.. » Et Thomas Jolly était d’autant plus dépité qu’il a cru jusqu’au matin que le soleil serait de la partie. « Je pars me coucher vers 5h du matin, il faisait beau, on était en tee-shirt. Je regarde la météo et je vois qu'il fait beau. Je me dis que c'est vraiment génial, que les planètes sont alignées, la répétition avec Céline était d'enfer, ça va être trop beau », a-t-il raconté.
Le réveil a donc été brutal lorsque Thierry Reboul, l'organisateur des cérémonies des Jeux de Paris, l’a appelé à 7 heures du matin. « Il me dit réunion de crise dans une demi-heure, il pleut. Je lui dis 'non Thierry il ne pleut pas, j'ai checké donc il ne va pas pleuvoir'. Il me dit 'si, Thomas, il pleut, donc réunion de crise et tu viens' », a-t-il expliqué, revenant sur sa détresse, le matin de la cérémonie : « Quand on a su qu'il allait pleuvoir, c'est deux ans de travail que j'ai vu défiler... Je ne savais pas ce que ça allait donner. »
A posteriori, Thomas Jolly ne regrette rien. Il a même « remercié si fort cette pluie parce qu'il y a eu tant de force », avec « les artistes, les techniciens, les techniciennes, toutes les équipes qui se sont réorganisées ». Pour faire vivre une soirée aussi magique que mouillée.
La France a vécu une parenthèse enchantée durant la durée des Jeux Olympiques et paralympiques. Et le ton fut donné dès la cérémonie d’ouverture, le 26 juillet, puisque tous les ingrédients semblaient être réunis pour que la soirée tourne au fiasco. La journée avait été marquée par le sabotage de plusieurs lignes SNCF et la pluie était attendue pour s’abattre dans la soirée.
La perspective avait fait craindre le pire, notamment à Thomas Jolly, le directeur artistique des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. Comme en témoigne une séquence captée par les caméras des frères Naudet pour un documentaire qui sera diffusé ce mardi soir sur France 2, le Rouennais était d’ailleurs sonné. Au point de fondre en larmes.
« Je ne réalisais pas, a-t-il raconté sur le plateau de C à vous. On avait les plan de réadaptations mais tout à coup, l'effet de réel.. » Et Thomas Jolly était d’autant plus dépité qu’il a cru jusqu’au matin que le soleil serait de la partie. « Je pars me coucher vers 5h du matin, il faisait beau, on était en tee-shirt. Je regarde la météo et je vois qu'il fait beau. Je me dis que c'est vraiment génial, que les planètes sont alignées, la répétition avec Céline était d'enfer, ça va être trop beau », a-t-il raconté.
Un réveil très brutal
Le réveil a donc été brutal lorsque Thierry Reboul, l'organisateur des cérémonies des Jeux de Paris, l’a appelé à 7 heures du matin. « Il me dit réunion de crise dans une demi-heure, il pleut. Je lui dis 'non Thierry il ne pleut pas, j'ai checké donc il ne va pas pleuvoir'. Il me dit 'si, Thomas, il pleut, donc réunion de crise et tu viens' », a-t-il expliqué, revenant sur sa détresse, le matin de la cérémonie : « Quand on a su qu'il allait pleuvoir, c'est deux ans de travail que j'ai vu défiler... Je ne savais pas ce que ça allait donner. »
A posteriori, Thomas Jolly ne regrette rien. Il a même « remercié si fort cette pluie parce qu'il y a eu tant de force », avec « les artistes, les techniciens, les techniciennes, toutes les équipes qui se sont réorganisées ». Pour faire vivre une soirée aussi magique que mouillée.
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