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« Il m’est arrivé de l’emmener au boulot » : elles sont accro à leur sextoys et témoignent

« Il m’est arrivé de l’emmener au boulot » : elles sont accro à leur sextoys et témoignent
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Ils s’appellent « Rabbit » ou « Duckie ». Vous ne les connaissez peut-être pas mais certaines femmes en ont fait leur plus fidèle compagnon. Aujourd’hui, ces amants high-tech leur font tourner la tête. Pourquoi sont-elles devenues accro à leur jouet intime ? À l'occasion de la journée internationale du sextoy, de ferventes utilisatrices se confient.

« Je ne pouvais plus m’en séparer ou plutôt mon corps le réclamait »

« J’ai acheté mon premier sex-toy après une rupture. J’ai tout de suite pris du plaisir, à tel point que je ne pensais plus qu’à ça. Une fois le boulot terminé, je rentrais directement à la maison pour me faire du bien. J’étais devenue une addict. Je ne pouvais plus m’en séparer ou plutôt mon corps le réclamait. J’ai arrêté de m’en servir le jour où il m’a lâché, c’était un « rabbit ». Depuis ce jour, je n’en ai plus jamais racheté. » 

Annie, 26 ans

« Au moins deux fois par jour pendant plus d’une heure »

« C’est devenu un vrai problème. Il y a six mois, je me suis fait larguer. Je me suis achetée un sex-toy souple, plutôt réaliste : 20 cm de long et 5,5 cm de diamètre. Etant seule et ayant l’habitude de me masturber de temps en temps, j’ai décidé de varier les plaisirs. Le truc, c’est que je suis devenue complètement accro : c'est-à-dire au moins deux fois par jour pendant plus d’une heure quand j’ai le temps... J’éprouve un réel plaisir à l’utiliser et bonjour les

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