Les ministres des Affaires étrangères du G7 et le chef de la diplomatie européenne ont condamné les violences des policiers de Birmanie, appelant au « respect des droits de l’homme ».
Les ministres des Affaires étrangères du G7 et le chef de la diplomatie européenne ont « fermement » condamné mardi 23 février les violences commises par les forces de sécurité birmanes contre les manifestants pro-démocratie pacifiques.
« Nous, les ministres des Affaires étrangères du Canada, de la France, de l’Allemagne, de l’Italie, du Japon, du Royaume-Uni et des États-Unis, ainsi que la haut représentant de l’Union européenne, condamnons fermement les violences commises par les forces de sécurité birmanes contre les manifestations pacifiques », ont-ils indiqué dans un communiqué, appelant l’armée et la police à « la plus grande retenue » et au « respect des droits de l’Homme ».
L’ONU avait déjà demandé « d’arrêter immédiatement la répression »
La veille, le 22 février, les ministres des affaires étrangères de l’UE s’étaient dits prêts à mettre en place des sanctions. De son côté, l’Organisation des Nations Unies avait demandé au gouvernement birman « d’arrêter immédiatement la répression ».
Mais la j…