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Prix en baisse : les huiles et aliments surgelés devenus plus abordables

Prix en baisse : les huiles et aliments surgelés devenus plus abordables
Publié le 31 août 2024 à 20:00, mis à jour le 31 août 2024 à 18:00

D'après les récentes statistiques de l'Insee, plusieurs produits ont vu leurs prix chuter de façon consécutive pendant plusieurs mois. Quels sont ces articles et quelles en sont les causes ?

Tl;dr

  • Baisse des prix de certains produits selon l’Insee.
  • Les produits alimentaires et électroménagers principalement touchés.
  • La baisse de l’inflation et des négociations commerciales sont les raisons principales.
  • Impact positif sur le pouvoir d’achat, certaines hausses notables.

Des prix en baisse : une aubaine pour les consommateurs

Selon les dernières statistiques de l’Insee, il semblerait que certains produits aient vu leur prix chuter de manière significative ces derniers mois. Parmi eux, on retrouve des produits de consommation courante tels que l’alimentation et l’électroménager.

Une baisse de prix sur certains produits alimentaires

D’après les données recueillies par le ministère de l’Économie et des Finances, certains produits alimentaires ont vu leur prix diminuer de 0,4% en un an. Parmi eux, les huiles (excepté l’huile d’olive), les fruits surgelés et les légumes frais ont connu une chute de 15%, 13% et 5% respectivement.

La volaille a également vu son prix au kilo chuter de 3%, permettant ainsi aux consommateurs de cuisiner à moindre coût.

Les produits électroménagers aussi concernés

Le rapport de l’Insee indique également que les appareils électroménagers ont connu une baisse de prix de 2,6% sur un an. Les plus notables sont une baisse de 8% pour les petits appareils électroménagers, de 6,8% pour les équipements de nettoyage et de 9,2% pour les grils et grille-pain.

De plus, les téléviseurs et les smartphones ont également vu leur prix baisser de 5,4% et 6,1% respectivement.

Les raisons de cette baisse de prix

La cause de cette chute des prix serait due à une baisse de l’inflation de plus de 2% sur une année. De plus, les industries de l’agroalimentaire n’ont pas réussi à obtenir une hausse des prix de plus de 1% lors des récentes négociations commerciales avec la grande distribution, loin des 4,5% demandés.

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